Rira bien qui rira (de Bolloré) le dernier
Les auteurs de Canal+ testent leurs marges de manoeuvre à coups de sketchs
Vincent Bolloré trouve-t-il encore le temps de s'occuper de ses usines de film plastique ? En cette rentrée 2015, on entend davantage parler de ses incursions régulières dans la grille du groupe Canal+ que de sa politique industrielle. Après avoir censuré une enquête sur le Crédit mutuel (l'un de ses partenaires financiers), licencié deux cadres d'i-Télé (ce qui a occasionné la démission de deux membres du comité d'éthique de la chaîne), tenté d'avoir la peau des Guignols, remanié le Grand journal (Robin Andraca vous raconte ici les coulisses de cette nouvelle mouture) et dit tout le mal qu'il pensait d'une enquê...
Il vous reste 85% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous