Petit à petit, les NuitDeboutistes inventent leur relation aux médias
Elles ont suivi la Nuit Debout depuis ses débuts. Les premières réunions dans les bistrots, les premières galères logistiques : elles en étaient - les premiers enthousiasmes aussi, lorsqu'il est devenu évident que "quelque chose se passait" le 31 mars, malgré la pluie et le froid. Elles sont donc bien placées pour examiner le rapport aux médias que sont en train de construire les noctambules de la place de la République. Mais elles tiennent à préciser que leur parole n'engage pas le mouvement tout entier : "Le mouvement n'a pas de porte-parole. Nous n'avons pas de mandat". Johanna travaille chez Fakir, le journal par qui les Nuits sont arrivée...
Il vous reste 92% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous