Filteris, l'algorithme qui voulait du bien à Fillon (et qui s'est planté aussi)
basés sur une analyse "big data" des conversations numériques, plaçant Marine Le Pen et François Fillon au second tour. Leurs graphiques, largement relayés, ont alimenté les espoirs du camp Fillon... et les soupçons de partialité : un des actionnaires minoritaires de l'entreprise est un proche de Pierre Fillon, le frère du candidat battu. Suite au démenti cinglant de leur analyse par les résultats du premier tour, son fondateur tente de justifier cet échec, et dément toute volonté d'intervention dans le débat public.
Vendredi 21 avril, 23h50 : dix minutes avant le début de l'embargo, l'entreprise Filteris publiait sa derniè...
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