Italie / administration : priorité au logiciel libre
(c'est à dire dont l'utilisation, la modification et la diffusion sont permises grâce à la diffusion du code source du programme) tandis que les logiciels propriétaires deviennent l'exception. La circulaire, publiée la semaine dernière, vient préciser la modification du code des marchés publics voté en août 2012, note l'April (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre) qui cite l'Italie comme exemple à suivre.
"L'agence pour l'Italie numérique" annonce la parution de la circulaire
En clair cela veut dire que les services devront privilégier des solutions libres (ce qui ne veut pas forcément dire gratuites) comme OpenOffice plutôt que leur équivalent propriétaire comme Microsoft Office, sauf quand ils peuvent faire la preuve que l'utilisation du libre est impossible. En France, si le Parlement a voté un article donnant la priorité aux logiciels libres dans l'enseignement supérieur par exemple, le reste de l'administration n'est pas soumise à la même règle.
L'occasion de (re)voir notre émission 14h42 "L'éducation nationale va-t-elle se vendre à Microsoft? Logiciels libres et propriétaires, en débat".
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