Bebelo-attristés et bebelo-indifférents
chronique

Bebelo-attristés et bebelo-indifférents

D'abord, il y a les bebelo-tristes, simplement tristes, d'une tristesse qui n'a pas besoin de longues explications, l'immense majorité, tant Bebel est une évidence de nos enfances et de nos vies, une bebel-évidence, un petit morceau de nous-mêmes, chacun le sien, hélico ou cigare, flic ou voyou. Le mien n'a ni hélico ni cigare, il n'a besoin que d'une chambre d'hôtel miteuse, d'un chapeau, et d'un Anconina aux yeux ronds, mais je ne suis pas là pour parler de moi. Tous ces Belmondo s'exhibent dans les choix icono des Unes - choix qui permettent, soit dit en passant, de cartographier la concentration de la presse quotidienne régionale aujourd'hui. 

Partager cet article

 

Cet article est libre d’accès
En vous abonnant, vous contribuez
à une information sur les médias
indépendante et sans pub.

Déjà abonné.e ?

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.