Et qui en fait un livre de 696 pages, qu'il vend uniquement sur Internet, et dans quelques boucheries et salons de coiffure. Cette particularité économique (éventuellement liée à des vicissitudes antérieures de la carrière de l'écrivain) pique évidemment notre curiosité. Marc-Edouard Nabe est donc invité à venir plonger d@ns le texte de son non-livre par Judith Bernard. Judith lui reproche que son livre ne soit pas écrit. Il réplique que c'est normal, s'agissant de l'histoire d'un homme qui a arrêté d'écrire. Elle lui avoue qu'elle s'est ennuyée. Il s'enthousiasme: c'est signe qu'elle a parfaitement compris sa d&eacu...
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