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Lettre à un ami secrétaire général de l'UMP
Convaincu, bouleversé par le très beau texte de Jean-François Copé, "Lettre à un ami musulman", je ne puis résister à la nécessité de lui adresser à mon tour la lettre suivante, pour le convaincre du bien-fondé de notre projet d'un grand débat sur le sarkozysme.
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Derniers commentaires
Ou comment remettre a sa vraie place,la "tête a claque Copé"
Dans le même ordre d'idées, '"Arrêt sur images" pourrait s'intéresser à la diffusion sur une chaîne publique, à chaque fête de Noël et de Pâques (donc à nouveau dans trois semaines), de la bénédiction dite "urbi et orbi". Ou bien la retransmission, faite sans aucune distance, du geste auguste du pontife cautionne la croyance que Benoît XVI, unique mandataire du Créateur, a le pouvoir d'en attirer les bienfaits sur tous les humains (et ce qui s'est passé depuis le 25 décembre à la surface ou dans les profondeurs de la terre n'autorise pas à en douter). Ou bien ce qui intéresse France 2 est le côté folklorique de personnages en robes surannées sur le balcon du Vatican et d'un vieillard qu'on acclame par habitude, mais alors qu'en est-il du respect des croyances ?
Daniel au pays de Candide.
Le formatage des esprits
Dans la durée, cet alignement des médias sur les positions officielles a déjà été fortement critiqué, et toujours a posteriori... Ainsi, en 2004, Daniel Schneidermann, réalisant au jour le jour une insolente et indispensable critique des médias (au point qu'il a été licencié de l'émission de télévison Arrêt sur images) ironisait déjà, à propos des massacres de civils ivoiriens (à propos d’une presse française «embarquée», comme en Irak ou en Afghanistan) qu’il fallait trois semaines pour rétablir la vérité, connue sur place, y compris des occidentaux. Pour avoir vu à l’époque des confrères littéralement happés dans les hélicoptères de la force française Licorne vers Bouaké, «retour à 16 heures à l'Ivoire», on peut garantir qu'il ne s'agit pas que de métaphores...
Dans le temps... et l'espace. En ce moment la Libye, hier la Côte d’Ivoire, autrefois l'Irak. Dans l’urgence, les emballements de la presse se déclinent sur trois axes: unanimité politique, ethnocentrisme franco-français, alignement sur des positions militaristes. A vrai dire, ce dernier point résume souvent les précédents: c'est ce que Schneidermann nomme heureusement la «kakisation des esprits», en 2004 comme aujourd'hui!
Pour autant la presse, enfin toute la presse, n’est pas «aux ordres». Pas tous et tout le temps en tout cas. Comment s'explique alors cet alignement, si ce n'est par ces «présupposés» que Pierre Bourdieu opposait aux journalistes dans un débat célèbre et un livre stimulant (Sur la télévision)? Ici et maintenant la «fabrique de l’opinion» formate les esprits, sur la Côte d’Ivoire comme sur d'autres sujets, mais selon des topoï repérables et des processus souvent inconscients. Tout se passe comme si, à un moment donné, le courant dominant produisait un consensus idéologico-médiatique dont il est alors extrêmement difficile de sortir, quitte à ce qu'il vole en éclat quelques mois ou années plus tard, voire s’inverse!
Est-on si loin de 1984? Un social-démocrate devient «un dictateur»; un légaliste forcené se retrouverait pris à son atavisme pour redevenir un «guerrier bété»; ou un libéral du FMI un grand démocrate… Qu'il ait depuis 2002 (comme Foday Sankoh ou Charles Taylor en leur pays) mis la Côte d'Ivoire à feu et à sang par rebelles interposés ne compte pas, ne compte plus. Ces soldats perdus ne sont-ils pas des «rebelles qui sourient», et qu'importe si, dans ces guerres nomades, ce sont littéralement les mêmes qu’à Monrovia ou Freetown. De toute façon, si des exactions et même une violence continue comme «méthode de gouvernement» se produisent au Nord, les journalistes sont au Sud, et dénoncent vertueusement les contre-violences causées par le «coup d'Etat permanent» et la déstabilisation continue. Et alors? «La guerre c'est la paix», comme le savaient déjà les héros d'Orwell –et notre presse française, forcément libre et objective, est bien sûr composée de journalistes héros, intègres et clairvoyants!
Pour La Boétie déjà, l'énigme du pouvoir était non la sujétion au Prince, mais le plaisir, voire le désir des sujets à se soumettre…
Une presse africaniste en question
A l'occasion du printemps arabe, un certain nombre de désinformateurs ont été pris la main dans le sac; patrons d’hebdomadaires «africains», directeurs de «revues» panarabes ont dû reconnaître qu'ils étaient redevables au dictateur Moubarak, à M. Ben Ali –et pas que moralement! Les mêmes ou d’autres écrivent des dossiers systématiquement favorables à M. Ouattara, qui a toujours su traiter les journalistes et les directeurs d'organes de presse –et pas qu'en tenant table ouverte à Paris, Mougins ou Abidjan!
Dans ce contexte de corruption des esprits généralisée se posent des interrogations sur la «presse Rothschild» –pour inverser le stigmate que ses «experts» ont publiquement affiché sur la «presse Bolloré», jugée par eux non pas tant favorable à Laurent Gbagbo que trop tiède dans ses condamnations.
Depuis les années 90, le journaliste Stephen Smith, successivement responsable Afrique à Libération, puis au Monde, a mené une campagne acharnée contre Laurent Gbagbo et en faveur d'Alassane Ouattara. Dénoncé par les intellectuels africains pour ses écrits méprisants, il fut un temps soutenu par des politologues africanistes qui lui ouvrirent leurs colonnes.
Quand, dans un procédé digne d'époques que l'on croyait révolues (procédés typiques de la presse factieuse d’entre deux guerres), on amalgame hommes d'affaires et intellectuels, politiques et militants, pour les dénoncer coram populo, on doit s’attendre à rendre des comptes.
Sans être des admirateurs sans faille de Roland Dumas et de Jacques Vergès, l'un ancien ministre des Affaires étrangères et président du Conseil constitutionnel, l’autre brillant et inlassable avocat «de rupture» depuis la guerre d'Algérie, est-il inadmissible de traiter leur séjour à Abidjan comme «les deux grigous de Gbagbo»? On atteint là des sommets d'une certaine ignominie médiatique... Listes noires et insultes dépassent les bornes de la déontologie ordinaire des journalistes.
Le plus étonnant aujourd'hui: des trois grands quotidiens français, le Figaro est certainement le plus modéré dans son approche du conflit ivoirien.
La rhétorique de la désinformation
La désinformation n'est pas un discours intellectuellement construit: c'est une série de pratiques plus ou moins visibles (plus ou moins conscientes d'ailleurs dans leurs effets de falsification, répétition et mimesis), articulée dans une rhétorique d’inversion ou de déplacement.
On a fait allusion à une «politique de l'information» qui va de la ligne plus ou moins explicite d'un organe de presse, s’inscrivant dans un champ médiatique, dominé à un moment donné par une idéologie consensuelle. Cette politique se décline dans le nombre des articles et leur place, envoi (ou non) d'envoyés spéciaux (et leurs pratiques de terrain), l'acceptation ou le refus de tribunes ou d'entretiens extérieurs, les analyses «maison» des événements culminant dans des éditoriaux parfois signés, souvent courageusement anonymes...
Le recyclage des acteurs, intellectuels ou journalistes étrangers constitue une tactique de choix dans la propagande de masse, à laquelle la blogosphère n'échappe pas; suffit-il, comme Venance Konan par exemple, d'être une «bonne plume» ivoirienne pour pouvoir écrire n'importe quoi (et faire oublier son passé de chantre de l'ivoirité et son militantisme actuel pro-Ouattara)? Loin de tout devoir de réserve (les amis du Prince, réfugiés ou étrangers, n'y sont bien sûr pas tenus!), on peut se permettre ainsi d'user des procédés les plus classiques de l’extrémisme: tribune ignoble sur le physique ou la vie privée du «dictateur» dénoncé; lettre collective dans Le Monde un jour, personnelle dans Libération le lendemain —toujours dans des termes où l’insulte ne cède qu’à l’outrance.
Le sommet a sans doute été atteint en reprochant à Laurent Gbagbo la responsabilité de la guerre urbaine d'Abidjan: tous les observateurs savent que le «commando invisible» d'Abobo vient de la rébellion et de la mouvance Ouattara. Ou encore d'indexer les morts civils de 2000 qui affrontèrent les militaires soutenant le putschiste R. Gueï, se faisant massacrer pour un régime civil et le respect des élections. Ici, l'ironie n'est plus de mise: attribuer les victimes du général Gueï à Laurent Gbagbo est ignoble et digne des procédés de Goebbels: «plus c'est gros, plus ça passe»! Tout comme un quarteron de chercheurs sous influence, ayant en commun de ne pas avoir connu la Côte d'Ivoire depuis dix ans, recyclent l'ivoirité ou attribuent ce faux concept, «l'ethnocratie», à celui qui a un électorat multiethnique! La responsabilité dans ces cas est partagée entre les auteurs et ceux qui laissent passer ces textes: à supposer que la presse se relise, dans quelques années, le rôle des rédactions n'en sortira pas grandi.
Les procédés de désinformation sont légion, et l’ignorance du terrain ne saurait les résumer. Certains sont conscients et servent de marqueur, de repérage dans le champ médiatique: ainsi entendre un «expert» journaliste évoquer sciemment 2004 en déplorant les 10 morts et les 30 blessés de l'armée française à Bouaké sans citer les 60 morts et plus de 1.000 blessés ivoiriens semble significatif. Plus récemment, dans les pseudo débats télévisés (on pense par exemple à un débat de «spécialistes» à 100% ouattaristes: si la conversation manquait de diversité, le forum en ligne était plutôt animé, ayant sans mal remarqué le procédé…), le fait de citer le Conseil constitutionnel ivoirien constitué de pro-Gbagbo (sans d'ailleurs faire référence à l'identique situation française) sans mettre en regard la composition de la CEI à plus des deux tiers pro-Ouattara parait un marqueur évident de partis pris tout à fait voulus.
Les procédés d’inversion, plus scandaleux, ne manquent pas: on se souvient de Jacques Chirac —lui qui a 2004 sur la conscience— traitant Laurent Gbagbo de... «fasciste»! On a pu récemment entendre des journalistes prendre les commandos d'Abobo pour le «soulèvement du peuple» ou la «désertion de l'armée ivoirienne».
La diabolisation de l’adversaire se fait par calomnies successives, procédant de l’inversion systématique, ou du déplacement victimaire: tactique langagière courante chez les promoteurs de génocide, si l’on en croit les analyses de Jacques Semelin.
Tout ne ressort pas cependant d'une diabolique volonté de désinformation, de la corruption des esprits ou d'une obéissance à des rédactions inféodées: même si cela existe et si l'Afrique, depuis longtemps, a servi de miroir déformant à nos turpitudes. Notons au passage ce que l’on pourrait nommer le «rendement décroissant de l’information», qu’il faudrait approfondir: de la télévision, à la radio et à la presse écrite occidentale, la désinformation régresse, ou se fait moins flagrante; d'autres ont pu travailler bien mieux sur les procédés de «construction» audiovisuelle, qui concernent aussi les réseaux sociaux ou les blogs (comme la fiction, bien écrite et entièrement inventée, du décès de Ouattara au Val-de-Grâce).
Beaucoup vient, au-delà de l’ethos (qui n’est pas qu'une absence d’éthique ou de déontologie!), d'un certain habitus journalistique: pour en avoir partagé quelques épisodes au plus fort des événements de décembre et janvier, on peut assurer de l'intérêt d'une recherche anthropologique sur le journalisme occidental à Abidjan...
Ni presse locale, ni profondeur historique, ni éclairage socioanthropologique: faute de mise en perspective, les journalistes occidentaux interagissent sur le terrain, vivant dans un monde d’autoréférencement. Leur dépendance des «fixeurs» autoproclamés n’en est que plus flagrante, et parfois pitoyable; demi-journalistes, demi-informateurs fonctionnant eux aussi en réseaux (d’ailleurs très majoritairement pro-Ouattara), ces derniers fonctionnent eux aussi en réseaux et jouent un rôle aussi important dans la désinformation que dans l’information.
Il est vrai que le milieu politique ivoirien est préstructuré, dans une inégalité flagrante devant les attentes, collaboration ou refus avec la presse occidentale; globalement tenus pour des ennemis virtuels par le camp Gbagbo —avares de contacts et de données—, les journalistes venus d’Europe sont accueillis à bras ouverts… et désinformés à proportion par le camp Ouattara… depuis 2002! Ce sont d’ailleurs les supplétifs, on veut bien croire involontaires, de la rébellion: quant au mythe du «smiling rebel» de 2002, lui correspond celui du «commandant du Vent», chef du commando invisible de 2011; et qu’importe si ce sont les mêmes guerriers nomades ayant mis à feu et à sang Liberia, Sierra Leone et Nord de la Côte d’Ivoire, qui s’apprêtent à des massacres de masse à Abidjan et dans le Sud: ce n’est que trop tard que les mêmes s’apercevront que le sourire n’était qu’un rictus complaisant et que le vent d’Abobo ne charriait que l’odeur des cadavres. Aucun mea culpa à attendre de ce que Sartre nommait les «belles âmes», ces idiots utiles de la sanglante Histoire à venir. «On ne savait pas…» diront-ils, comme toujours. Pour autant, à écrire une prose éphémère, faut-il encore qu’elle soit irresponsable?
Michel Galy
Car personne n'est dupe! Opposons-lui d'ailleurs céans (j'adore ce mot!) un proverbe arabe: "Si l'on vient vous dire qu'une montagne a changé de place, permis à vous de le croire ; mais si l'on vous dit qu'un homme a changé de caractère, n'en croyez rien."
Rendons à César ce qui est à César, je l'ai trouvé dans les réactions à la lettre de Copé sur le lien de DS
Sur MON BLOG
A tel point qu'il serait vraiment bien de mettre ce texte en accès libre.
En vous remerciant d'avance!
pour moi,il a aggravé son cas. Donneur de leçons,bla bla inextinguible. Moi moi moi je je je je etc etc.
J'ai dit insupportable,j'aurais dû dire ODIEUX.
Hélas ma première version est très obscène, j'ai donc prié le bon PG (qui me doit bien ça) d'héberger mes infamies sur son forum...
Si vous voulez vous faire une idée (et si vous avez plus de 18 ans) C'EST ICI
Je compte faire des choses plus "soft", mais j'avoue que cette volonté de faire semblant de dorloter l'ennemi, pratiquée par Copé m'inspire plutôt des choses radicales...
Je ne vais plus jamais sur les forums.
Mais là : clap clap clap.
J'ai vraiment cru pendant quelques secondes que DS avait reçu un coup de fil suite à sa chronique.
Pour dissiper le doute, il a fallu que je lise la prose Coppienne.
C'est pas bien de jouer avec nos nerfs, Mr Schneidermann.
ils sont un mal absolument pas nécessaire .je ne peux plus les supporter !!
Hi hi hi hi (rire de [s]hyène[/s] Yanne)
.... Amen....
Oui bientôt un débat à l'assemblée,
je ne veux pas fâcher mes amies grenouille de bénitier
et méa culpa.
gamma
Ce canevas grotesque mérite d'être exploité de toutes les manières...
Je propose un concours ici même, pour ma part je m'y colle de ce pas (résultats ce week-end)
P.S. : Nous pourrions envoyer les meilleurs à la Mairie de Meaux !
et va en faire beaucoup je crois )))
des années que l'ump nous donne envie de pleurer, enfin ils se décident à vouloir nous faire rire. c'est la nouvelle stratégie ?
toutenbateau
Arme fatale lorsqu'elle est maniée avec talent.
Qu'est ce que cela me fait rire !
Que toutes nos élites sarkozystes soient un jour formées en France !
Voila la question que nous gardons trop souvent dans nos tiroirs !
Car, camarades populaires de tous les terroirs,
l ne s'agit de faire seulement le Sarkozysme en France,
mais bien le Sarkozysme de France !
A quand des distributions de saucisson pour qu'on se sente vraiment francais ?
Par contre, je lis au détour d'un paragraphe : "Pour nous faire renoncer, on aura tout tenté: manipulations, insultes, intimidations...". Ceci m'inquiète au plus haut point. Pourriez-vous être plus précis ? (Ai-je raté un épisode ?).
Comme on a voulu faire dire à Voltaire : "Je ne partage pas vos idées mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez les exprimer." Copé serait bien avisé d'en faire sa maxime aujourd'hui.
eh bien cher Daniel, si les amis de vos amis sont vos amis nous ne resterons pas amis pour la vie.....
Parfait...
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
J'en avais esquissé un petit, vite fait, ce matin : "Lettre à un ami demandeur d'emploi" à lire ici si le cœur vous en dit !
Question a 2 kopecks : qui est le plus faux cul dans sa lettre, Copé et Schneidermann ? Copé qui veux faire croire qu'il n'y a aucune stigmatisation des musulmans ou DS qui assure qu'il ne déteste pas cordialement la philosophie des gens au pouvoir ? Dure de départager... :)
Très bien joué. La balle est superbement bien renvoyé. J'adore quand on utilise les armes de l'autre.
J'ai toujours pensé que le sieur Copé était encore plus dangereux que le sieur Sarkozy .Je crois qu'il est vital pour ce pays qu'il ne parvienne JAMAIS à atteindre son ambition; être président.
Et rappelons-lui que la loi de 1905 sur la laïcité n'a nul besoin qu'il s'en occupe. Elle est là,puissante et vénérable . INTOUCHABLE.
Des fois je me demande ce qu'ils ont dans la tête, ou s'ils ont des conseillers et ce qu'ils ont eux aussi dans le crane ...
http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?4,1108850,1109222#msg-1109222
6 mois déjà... il serait temps de faire un point complet, non ?
Blague à part, avec Nicolas 1er on croyait avoir trouvé un roi en matière de cynisme récupérateur, Copé lui sera l'empereur.
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