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"Vendre Pif était un moyen de fourguer l'Huma dimanche"
C'est une drôle de secte, dont les membres ne se connaissent pas entre eux, n'ont aucun point de rassemblement, et pourtant se reconnaissent dans certains totems, qui s'appellent Pif le chien, Pifou, Corinne et Jeannot, ou encore Rahan. C'est une drôle de secte à laquelle appartient, aussi, Daniel Schneidermann : la secte des anciens lecteurs de Pif Gadget, magazine pour enfants des éditions Vaillant, propriété du PCF, au tournant des années 70.
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