"Ce sont de très graves accusations qu'a proférées mardi soir Ségolène Royal. La présidente de la Région Poitou-Charentes, candidate à la direction du Parti socialiste, a sorti l'artillerie lourde", s'indigne l'article.

Il est vrai que la socialiste ne semble pas avoir la moindre preuve de ce qu'elle avance.

Mais entre voir "un rapport" entre deux faits et "accuser" les proches de Sarkozy, il y a un pas. Qu'elle n'a pas franchi, contrairement à ce qu'affirme le Figaro.

NB : Nous avons modifié ce "vite dit", qui indiquait dans sa première mouture que l'article en question provenait du Figaro.fr.
La rédaction du site internet nous a fait remarquer qu'il s'agissait d'une reprise d'un article publié dans Le Figaro papier. Merci à eux de nous avoir fait remarquer notre erreur.

(Lire aussi la chronique de Daniel Schneidermann, Royal, brouillard sur cambriolages)