"L'abominable vénalité" de la presse française d'avant 14, dévoilée par le corrupteur russe
@si a relu un livre injustement oublié
L’"Abominable vénalité de la presse". L’expression est de Arthur Raffalovitch, conseiller secret du ministère des finances russe à Paris, acteur incontournable de la corruption de la presse française par l'argent russe à la belle époque. C’est lui, qui, avec l’aval de son gouvernement mais aussi du gouvernement français, arrose alors la presse française avant la guerre de 14. Entre 1904 et 1914, à plusieurs reprises, la plupart des journaux reçoivent des sommes conséquentes. Objectif: soutenir l’emprunt russe lancé en 1906, et faire en sorte que la presse française n’en dise que du bien. Puis, &ag...
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