Le viol conjugal n'a pas d'histoire. Ou plutôt, il n'a qu'une brève histoire juridique, depuis les années 1990. Auparavant, ses condamnations, sociales ou judiciaires, ne sont qu'éphémères, ou partiales (l'Eglise, par exemple, ne condamne que les pratiques "non reproductrices"). Heureusement, de Balzac à Zola, en passant par Maupassant, les écrivains sont là. Et aussi, les directeurs de conscience. Mathilde Larrère raconte l'histoire d'une invisibilité.
Sur les "baisers volés" entre amants, et les nuances du consentement, dans la peinture du XVIIIe siècle, on peut relire la chronique d'Alain Korkos qui n'a pas pris une ride, Baisers volés.
Vous ne pouvez pas (encore) lire cette vidéo...
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous