Bebelo-attristés et bebelo-indifférents
D'abord, il y a les bebelo-tristes, simplement tristes, d'une tristesse qui n'a pas besoin de longues explications, l'immense majorité, tant Bebel est une évidence de nos enfances et de nos vies, une bebel-évidence, un petit morceau de nous-mêmes, chacun le sien, hélico ou cigare, flic ou voyou. Le mien n'a ni hélico ni cigare, il n'a besoin que d'une chambre d'hôtel miteuse, d'un chapeau, et d'un Anconina aux yeux ronds, mais je ne suis pas là pour parler de moi. Tous ces Belmondo s'exhibent dans les choix icono des Unes - choix qui permettent, soit dit en passant, de cartographier la concentration de la presse quotidienne régionale aujourd'hui.
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