Valls, dans la fenêtre d'Overton
Dans les ballons d'essais plus ou moins crevés, qui s'envolent de "l'Elysée", pour nourrir des journalistes politiques réduits au chômage partiel par l'invasion télévisée des médecins (disons, des patrons, généralement masculins, de services hospitaliers),voici aujourd'hui, dans Le Parisien
, le "gouvernement d'union nationale". Ne riez pas, Macron pourrait faire appel à NKM, Stéphane Le Foll, Michel Barnier, ou Manuel Valls. Oui, Manuel Valls. Jean-Vincent Placé n'était sans doute pas disponible.
Manuel Valls est cet ancien Premier ministre franco-espagnol, qui s'est présenté aux municipales de Barcelone, y a essuyé un cuisant échec, et depuis, se livre à un fayotage éhonté sur Twitter à chaque discours d'Emmanuel Macron (exemple ci-dessous). La fréquence de ses invitations dans les émissions françaises, alors qu'il ne représente plus rien ni personne, est d'ailleurs un mystère que même les plus fins médiologues de l'équipe d'Arrêt sur images ne parviennent pas à percer.
Cet article est libre d’accès
En vous abonnant, vous contribuez
à une information sur les médias
indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous