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Terrorisme : "Homeland, une catharsis par anticipation"
De Ben Laden à l'Etat islamique, du 11 septembre au 13 novembre, ce sont quinze ans de lutte entre la CIA et le terrorisme islamiste que met en scène la série télévisée Homeland. Peut-on écrire et tourner une fiction sur la guerre, produite dans un pays en guerre, sans tomber dans la propagande ? La série accusée de racisme ou de montrer trop complaisamment des scènes de torture, est-elle parvenue à éviter cet écueil ? Comment les spectateurs reçoivent-ils cette série qui fait echo de manière si proche et si troublante à l'actualité immédiate ? Pour répondre, Sandra Laugier, professeure de philosophie à Paris I, auteure d'une chronique dans Libération sur Homeland et "la fin de l'innocence", et Pauline Blistène, doctorante en philosophie, qui prépare une thèse sur la visibilité du secret et l'esthétique de la raison d'Etat dans l'Amérique post-11 septembre.
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