Adieu Hénin-Beaumont, ses autos tamponneuses, son potjevleesch
On ne peut pas parler de tout. Je ne vous ai pas parlé des pompes funèbres. La première chose qui frappe en arrivant à Hénin-Beaumont, c'est le nombre des magasins de pompes funèbres. Selon les recensements les plus fiables, on en compterait huit, sur les places du centre-ville, davantage que de friteries et de kebabs réunis. Non pas qu'on meure davantage à Hénin-Beaumont qu'à Lens ou à Noyelles-Godault. L'explication est ailleurs. Le service de pompes funèbres, jusqu'à peu, était municipal. Mais déficitaire. La Chambre Régionale des Comptes ayant fait des observations, la mairie a privatisé la mort en catastrophe, plut&oc...
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