Au Japon, Areva passe à l'action...
à la bourse aussi, mais en toute discrétion
Au-delà du moment, la possible privatisation du nucléaire français aurait dû "faire l'effet d'une bombe" alors que le groupe japonais Tepco est accusé d'avoir négligé les investissements de sécurité, et que débute un débat sur sa possible nationalisation. Et pourtant cela n'a pas été le cas. Question de décence ? |
Les Japonais ont la catastrophe de Fukushima, mais heureusement, ils ont aussi le soutien d'Areva. Depuis le séisme, le "leader mondial" du nucléaire n'a pas ménagé son énergie pour communiquer sur la mobilisation du groupe. Dès les premiers jours, le groupe annonce avoir fait "un ...
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