Dangers des écrans pour les tout-petits : le débat continue dans Le Monde
article

Dangers des écrans pour les tout-petits : le débat continue dans Le Monde

Affrontement par tribunes interposées

Réservé à nos abonné.e.s
Le Monde publie aujourd'hui deux tribunes relatives au danger des écrans chez les enfants en bas âge. Ces deux prises de positions antagonistes rappellent celles des invités de notre émission du 9 février dernier venus débattre à ce sujet, Serge Tisseron et Anne-Lise Ducanda, tous deux parties prenantes de ces tribunes.

C’est décidément un débat qui passionne les médias. Aujourd’hui, mercredi 14 février, paraissent dans Le Monde deux tribunes faisant état de prises de positions divergentes concernant le danger que constituent les écrans chez les très jeunes enfants. Un débat qui rappelle celui entre Serge Tisseron et Anne-Lise Ducanda dans notre émission de la semaine dernière. 

Et pour cause, chacune des tribunes publiées ce jour sont initiées par deux collectifs différents : le collectif surexposition écrans (COSE) dont Anne-Lise Ducanda est membre fondatrice, et un collectif de professionnels du soin, de la prévention et de chercheurs auquel appartient Serge Tisseron.  

"Les écrans font écran à la relation humaine"

undefined
...

Il vous reste 85% de cet article à lire

Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.

Déjà abonné.e ?

Partager cet article Commenter
5
5 commentaires
Remonter en haut de fil
Commentaires

Dangers des écrans pour les tout-petits : le débat continue dans Le Monde

Le Monde publie aujourd'hui deux tribunes relatives au danger des écrans chez les enfants en bas âge. Ces deux prises de positions antagonistes rappellent celles des invités de notre émission du 9 février dernier venus débattre à ce sujet, Serge Tisseron et Anne-Lise Ducanda, tous deux parties prenantes de ces tribunes.

Derniers commentaires

Le fait que, de notoriété publique, les propriétaires-patrons de GAFA interdisent autant que possible à leurs propres enfants de s'approcher de tout écran, pc ou tablette, doit être considéré comme tout à fait fortuit, bien entendu!

J4avoue ne pas comprendre le débat entre ces deux factions. Dans le débat diffusé M TISSERON semblait plus occupé à corriger des fautes de sémantiques qu'à abordé le probleme, c'est une position un peu décevante.

Sur le fond il est évident que les tablettes sont mauvaises pour les plus jeunes ... voire pour tous tant elles isolent l'individu dans une bulle 

LE débat et cette continuité m’effare 

C'est un peu des discussions picrocholines.

Quel que soit le problème qui induit la dangerosité des écrans, il reste qu'il ne faut pas confier des écrans aux enfants avant un certain âge, sinon en les accompagnant, et peu de temps...

Sur le même sujet, excellent article de Cedric Biagini dans le numéro de ce mois-ci du mensuel La Décroissance...


Evidemment , il faut sortir des media adeptes des fausses nouvelles , ou plutôt des non-nouvelles pour  arriver 


doucement sur le chemin de la connaissance. 

 l'amour de ses parents devrait être la première addiction de l'enfant.


 quand les parents ne sont pas totalement disponibles il est parfois tentant de leur offrir des jouets interactifs qui ne doivent pas être utilisés par les enfants seuls mais accompagnés par des nourrices, éducateurs, ou grands parents. Il est trop facile de jeter l'anathème sur des parents absents de par leurs activités professionnelles dévorantes même pour des emplois de base, j'insiste sur ce fait car je constate au quotidien une très grande exigence des employeurs envers leurs salariés. Nous n'avons pas encore suffisamment de recul pour mesurer l'impact en terme de santé public sur l'influence des écrans sur l'ensemble de la population. Mais j'ai constaté des opérations de la cataracte chez des collègues de 50 ans. On peut aussi observer à contrario les progrès que certaines applications permettent d'obtenir chez des enfants peu scolaires.


Enfin, que ce soit au plan national ou international, ce qui compte, c'est de ne pas se fermer à la capacité des enfants de nous étonner par des  capacité d'apprentissage qui nous dépassent.


En revanche, je suis très sensible aux arguments qui consistent à évoquer le développement du repli sur soi de ses enfants, et de leur agressivité envers leurs instrumens .


Le manque de sommeil me parait être au centre du débat, car ces outils sont de par leur attractivité des excitants à pondérer par des activités de plein air fréquentes.


Pour les tout petits, il est de la responsabilité des parents de ne pas les soumettre à la vision de leurs programmes favoris sous pretexte que ce sont pas des programmes pour eux. Il en émane des messages toxiques que les enfants sont capables d'intérioriser.

Voir aussi

Ne pas manquer

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
[object Object]
[object Object]
[object Object]
[object Object]

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.