Etat d'urgence : médias français ch. perquisitionnés
On pourrait appeler cela le paradoxe du journalisme en état d'urgence : un nombre inédit de perquisitions administratives, gardes à vues et assignations, mais une absence quasi-totale de communication à leur sujet de la part du ministère de l'Intérieur et des préfectures. Comment, dans ce contexte, retrouver les personnes visées ? Pour certains journalistes, cela a parfois relevé du coup de chance : "Le point de départ de mon article ? Une de mes collègues, qui a reçu le mail d'un journaliste d'un autre média, à qui un ami a envoyé un message après avoir été témoin d'une interpellation qui l'a choqué", ...
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