Fausse décapitation : Des journalistes de la Charente Libre "mis en cause"
"Les Gilets jaunes voulaient nous utiliser"
L'affaire est pour le moins inhabituelle. Le quotidien La Charente Libre
a fait savoir ce jeudi 27 décembre que trois de ses journalistes avaient été entendus par la police après avoir été "mis en cause
" pour "provocation non suivie d'effet au crime ou délit par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique
". L'audition fait suite à la "pièce de théâtre" organisée par un groupe de Gilets jaunes vendredi 21 décembre, au cours de laquelle, après un faux procès, un pantin à l'effigie d'Emmanuel Macron avait été décapité. Une mise en scène rapportée par la Charente Libre
, qui a publié un papier et plusieurs photos (frappantes) de l'événement. Les faits avaient aussitôt été signalés au parquet d'Angoulême, commun...
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