La Tunisie s'ouvre (un peu) aux journalistes français
Les Tunisiens, eux, s'informent et protestent sur le net
Cela ne signifie pas encore que l'ensemble des journalistes peuvent travailler en toute tranquillité. Le Monde n’a pas eu l'autorisation d'envoyer de journaliste sur place, et est donc contraint de travailler depuis Paris. Un grand reporter de Libération n'a pas pu partir. L'envoyé spécial de France info a, de son côté, été suivi tout au long de son reportage par des policiers. Et dans un premier temps, TF1 n’avait pu accéder aux villes de province où se déroulent les émeutes.
Mais tant bien que mal, les journalistes étrangers parviennent à travailler sur place. Ce n’est pas le cas des journalistes tunisiens. Et pour pallier c...
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