"Nantes Révoltée", groupe d'ultra-gauche… ou média engagé ?
L'annonce par le ministre de l'Intérieur est tombée comme un coup de marteau sur les membres du collectif animant le média Nantes Révoltée, une semaine après le lancement public de leur premier magazine papier d'envergure nationale, Contre Attaque. Ils se savaient détestés des responsables politiques nantais de la droite et du centre, mais ne pensaient pas que le gouvernement voudrait les dissoudre. Ce mercredi 25 janvier, le ministre de l'Intérieur s'émeut dans l'Hémicycle que Nantes Révoltée "répète sans cesse des appels à la violence" pour justifier son souhait d'engager "une procédure contradictoire" en vue de dissoudre par décret ce "groupement de fait d'ultra-gauche", décrit-il aux députés dont ...
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