Non : ces 61% que les sondages grecs n'ont pas vu venir
Pires que les sondeurs français ?
évoquaient un score très serré. Résultat : le non au référendum grec l’emporte avec plus de 60% des voix. Comment expliquer un tel écart ?
Ce devait être serré. A en croire les sondages publiés par les médias grecs et repris dans la presse européenne, le oui et le non jouaient au yoyo mais restaient au coude-à-coude. Avant même l’annonce du référendum qui devait laisser au peuple grec le soin de choisir ou de refuser les exigences des créanciers, deux sondages assuraient que les Grecs étaient favorables à un accord avec la Troïka : le premier, réalisé par Kapa research pour le maga...
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