Taha Bouhafs, cagnotte pleine pour reporter en colère
Voir révélé le nom d'un collègue n'a pas plu au syndicat policier Alliance. Le 21 novembre, le journaliste Taha Bouhafs révélait sur Twitter le nom d'un des policiers l'ayant interpellé en juin à Alfortville (94), alors qu'il couvrait la manifestation de travailleurs sans-papiers d'un sous-traitant de Chronopost (ASI vous racontait alors la scène et la garde-à-vue de 24 heures qui s'en est suivie). Bouhafs estimait que son nom étant sur la place publique, il n'y avait pas de raison que celui du fonctionnaire lui écrasant la tête sur le bitume reste dans l'anonymat. La diffusion de l'identité du fonctionnaire ne serait pas illégale, selon Checknews. Mais Alliance Val-de Marne ne l'a pas entendu de cette oreille : immédiatement, le ...
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