Iran : douze ans de prison pour une caricaturiste
Ce dessin, nous apprend Amnesty International, fut rendu public lors d'une exposition à la mémoire des personnes tuées « dans le cadre des opérations de répression qui ont suivi l’annonce des résultats contestés de l’élection présidentielle ». Il « tournait en dérision les efforts déployés par le Parlement pour adopter une loi visant à ériger en infraction la stérilisation volontaire et à restreindre l'accès à la contraception et aux services de planification familiale ».
Accusée d'avoir insulté le "guide suprême" et plusieurs fois emprisonnée à partir d'août 2014, Atena Farghadani s'est défendue sur Facebook ainsi que dans une vidéo visible par là (en persan, évidemment), dont voici une copie d'écran. La jeune femme pose, ironiquement, d...
Il vous reste 54% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous