zizanie dans le métro
"— Tonton, qu'elle crie, on prend le métro ?
— Non.
— Comment ça, non ?
Elle s'est arrêtée. Gabriel stoppe également, se retourne, pose la valoche et se met à espliquer.
— Bin oui : non. Aujourd'hui, pas moyen. Y a grève.
— Y a grève.
— Bin oui : y a grève. Le métro, ce moyen de transport éminemment parisien, s'est endormi sous terre, car les employés aux pinces perforantes ont cessé tout travail.
— Ah les salauds, s'écrie Zazie, ah les vaches. Me faire ça à moi.
— Y a pas qu'à toi qu'ils font ça, dit Gabriel parfaitement objectif.
— Jm'en fous. N'empêche que c'est &a...
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