Comment Emmanuel Giboulot a vendangé 470 000 signatures (garanties bio)
Derrière le succès du viticulteur réfractaire aux pesticides
Une de la Nouvelle République du Centre du 25 février
Un héros, ou un martyr, c’est selon. Son nom ? Emmanuel Giboulot. Ce viticulteur bio est devenu en un rien de temps la coqueluche des médias. Il faut dire que son cas est taillé pour le buzz. L'été dernier, dans les alentours de Beaune, des plants sont soupçonnés d’abriter un foyer de flavescence dorée, maladie contagieuse véhiculée par une petite bête inoffensive, la cicadelle. Classée par le ministère de l’agriculture maladie de lutte obligatoire, elle doit donc être traitée histoire de ne pas contaminer les vignes environnantes. Un arrêté...
Il vous reste 95% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous