Pourquoi le "choc de simplification" sonne un peu mou
Les nombreuses exceptions d'un texte fourre-tout
Qui ne dit mot consent. L’adage vaut maintenant aussi pour l’administration. Quand François Hollande annonce son choc de simplification au printemps 2013, il propose, dans sa batterie de mesures, de renverser un principe gravé dans le marbre depuis 1864. Auparavant, lorsque vous formuliez une demande à l’administration, si vous n’aviez pas de réponse, vous pouviez vous assoir dessus. Avec la loi du 12 novembre 2013, pas de réponse équivaut à un oui. Et ce après un délai d’attente de deux mois.
Pourquoi ce choc ? C’est tout vu : selon le site du gouvernement, "un Français sur quatre juge complexe sa relation avec l’administration. ...
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