chronique
RN : rediabolisation express
"Je suis un homme qui a vu son âme à jamais meurtrie…"
Étreint par l'émotion, José Gonzalez s'interrompt. "Excusez-moi, je pense à mes amis que j'ai laissés là-bas…"
Là-bas : en Algérie, où est né le doyen d'âge de la nouvelle Assemblée, et qu'il a dû quitter en 1962, alors âgé de 20 ans. Larges applaudissements.
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