Inspectrice la bavure
Mais pourquoi utiliser le terme "bavure" pour qualifier… une tuerie ? C’est la question que s’était posée en 2010 notre journaliste Anne-Sophie Jacques – à l’époque chasseuse de mots des médias – qui avait enfilé son imperméable d’Inspectrice la bavure pour enquêter sur ce mot. Et vous verrez, si sa conclusion n’est peut-être pas sans bavure, elle est surprenante. L’occasion pour nous de republier sa chronique.
Il y a des mots aussi visqueux qu'un mucus de gastéropode collant avec obscénité aux faits de guerre et donc d’actualité. Sans vouloir jouer la fille qui sort de son œuf (et sur...
Il vous reste 95% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous