Le Horvilleur comme on le parle
chronique

Le Horvilleur comme on le parle

Voici quelques jours, j'ai tweet-clashé avec la rabbine Delphine Horvilleur. Elle se disait "très en  colère" contre ceux qui racontent le Proche-Orient "comme s'il y avait des forts et des faibles". Sous-entendant ainsi que dans cette histoire, non, il n'y a pas "des forts et des faibles", des gentils et des méchants, que c'est plus compliqué. "Si c'était aussi simple, j'ose espérer qu'on aurait résolu ce conflit depuis très longtemps" ajoutait-elle étrangement (comment l'aurait-on "résolu ?"). Je me suis contenté de souligner le "comme si".

Le blog Obsessions est publié sous la seule responsabilité de Daniel Schneidermann, sans relecture préalable de la rédaction en chef d'Arrêt sur images.

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