« Plaisirs asymétriques de la séduction »...
Le féminisme peut-il penser l'universelle violence du désir ?
Est-ce la canicule ? Me voici toute hébétée. Relisant, dans la perspective d’une émission qui n’aura pas lieu (car personne ne veut se parler en face dans cette histoire – trop de venin), les termes du débat qui a opposé la féministe américaine Joan W. Scott aux tenants d’un hypothétique «féminisme à la française» à l’occasion de l’affaire DSK, je me retrouve absolument esseulée, ne me reconnaissant ni dans un camp ni dans l’autre, dont j’ai la désagréable impression qu’ils se parlent sans s’entendre et passent scrupuleusement à côté du suj...
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