A la faveur des débats sur Didier Raoult et l'hydroxychloroquine, surgissent de plus en plus souvent des références à la "loi de Brandolini". Cette loi très peu scientifique, on pourrait ainsi la résumer : dans un débat, il faut dépenser bien davantage d'énergie pour réfuter le baratin, que pour fabriquer ce baratin.
Jean-Lou Fourquet en tire ici les conclusions vertigineuses : ou bien nous allons devoir collectivement consacrer de plus en plus d'énergie aux débats-baratin "à la Raoult", et à ce qu'ils supposent de tweets, chroniques, posts Facebook, et serveurs. Ou bien, la dépense d'énergie étant hors de nos moyens, l'abus de baratin pourrait nous mener à... l'effondrement. Rien de moins !
QUELQUES SOURCES
Sou...
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