C'est la question (à rebours des idées reçues) que posait dans Libération, la semaine dernière, un ex-otage américain, David Rohde. Rebondissant sur cette analyse, nous avons souhaité, alors que deux reporters de France 3, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, sont retenus en Afghanistan depuis plus d'un an, poser des questions rarement évoquées.
Dans les prises d'otages, le pouvoir tente-t-il d'intoxiquer l'opinion, en annonçant précipitamment de bonnes nouvelles non vérifiées ? Les journalistes qui traitent de la captivité de leurs confrères sont-ils parfaitement libres de ce qu'ils écrivent ? Peuvent-ils ...
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