, qui se retrouve soudain en charge d'une des questions politiquement, philosophiquement, éthiquement les plus insolubles de l'ère numérique : le droit à l'oubli. Plus précisément, l'arbitrage entre droit à l'image des citoyens ou des institutions, et droit à l'information des internautes (qui sont aussi des citoyens).
Depuis une décision, au printemps, de la Cour de Justice Européenne, c'est Google qui a été chargé d'exercer le "droit au déréférencement" de citoyens souhaitant rendre moins accessibles des informations qui les concernent. Mais selon quels critères ? En distinguant entre personnalités publiques et cit...
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