Certains voient dans le contenu de ces calepins personnels la preuve qu'une "police politique" opérait en France sous les deux mandats de Jacques Chirac.
Mais pour mieux dénoncer les dérives de l'ère Bertrand, faut-il citer les noms de ceux qu'il a tenté de mouiller ? Avec quelles précautions ? Quelles barrières ? Et finalement, faut-il donner du crédit à celui qui s'est révélé bien des fois un maître de la manipulation ?
Comment diffuser des boules puantes ? C'est la question
qu'ont dû résoudre les journalistes qui ont publié des extraits des carnets
d'Yves Bertrand. L'ancien patron des RG y collectait rumeurs et ragots sur tout
ce que Paris compte d'hommes d'influence, politiques ou non.
Certains voient dans le contenu de ces calepins personnels la
preuve qu'une "police politique" opérait en France sous les deux mandats
de Jacques Chirac.
Mais pour mieux dénoncer les dérives de l'ère Bertrand,
faut-il citer les noms de ceux qu'il a tenté de mouiller ? Avec quelles
précautions ? Quelles barrières ? Et finalement, faut-il donner du crédit à celui
qui s'est révél...
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