Chez Facebook aussi, la révolte gronde
Lundi 1er juin, à l'heure d'aller au bureau, ils ont fait défection. Enfin, pas réellement, pas IRL - in real life, dans la vraie vie-, télétravail oblige, mais virtuellement. Lundi, au moment de commencer une nouvelle journée de travail sous le soleil de Californie, "des centaines d'employés de Facebook", raconte le New York Times, ont ajouté à leurs profils et leurs boîtes mail professionnels un message automatique expliquant qu'ils étaient "absents du bureau" en guise de protestation et de soutien aux manifestants des les rues américaines. La raison : le refus dogmatique de leur PDG Mark Zuckerberg de modérer la parole de responsables politiques de premier plan -ici, Donald Trump-, même lorsque celle-ci contrevient aux règles éditées par...
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