Droit à l'oubli : le "comité Google" rend son rapport
Selon que vous serez ministre ou anonyme...
Un Américain, un Guatémaltèque, six Européens, dont la directrice éditoriale du Monde, seule représentante de la presse dans ce groupe. Et une mission : répondre au défi intellectuel et juridique posé à Google par la CJUE, qui a donné, le 13 mai 2014, raison à Mario Costeja Gonzalez. Pour recouvrer les dettes de sa femme, ce consultant espagnol avaient, en effet, dû vendre sa maison en 1998. Quel rapport avec Google ? L'annonce légale de la vente, parue cette année-là dans le quotidien de Barcelone La Vanguardia et dont les archives ont été numérisées depuis, figurait encore, seize années plus ta...
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