"Vous n'entendrez jamais dans ma bouche la moindre mise en cause du travail qui est fait", a déclaré le Premier ministre sur France Inter. "Le risque zéro face à des acteurs qui ont déclaré la guerre à notre pays et à l’Europe (…) ça n’existe pas", insistait le ministre de l’Intérieur. Pourtant, quelques jours après les attaques du 13 novembre à Paris, des voix, au sein des médias, s'élèvent pour faire le constat de failles importantes dans le renseignement français.

Interrogé sur la présence éventuelle à Paris de Abdehlamid Abaaoud, considéré comme l’organi...