les chiens aboient, la caravane publicitaire passe
La réclame remonte à la plus haute Antiquité. On pouvait en ces temps reculés contempler des fresques « vantant les mérites d'un homme politique ou des annonces de combats de gladiateurs » (dixit Ouiquipédiatre) ou lire à Thèbes, en Égypte, un texte datant de l'an 1000 avéjicé que l'on considère aujourd'hui comme le premier placard publicitaire même s'il ne s'agit pas tout à fait de cela (ce papyrus est conservé au British Museum de Londres). Un tisserand nommé Hapu y promet une demi-pièce d'or à toute personne fournissant des renseignements à propos de son esclave hittite nommé Shem, qui s'e...
Il vous reste 94% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous