Jean Mulatier, l'homme aux petits cailloux (2)
Ingres, Franquin, Bretécher, Depardieu, et quelques chats...
AK : Comment avez-vous découvert Mort Drucker et toute la bande de Mad Magazine ?
JM : C'est un prof de dessin au lycée qui m'avait dit : « Tu t'intéresses à Spirou, Tintin, Pilote… J'ai lu Pilote, c'est un journal influencé par un magazine américain qui s'appelle Mad. » Je suis allé dans le Quartier latin, j'ai acheté Mad dans un kiosque qui vendait la presse internationale et là j'ai été ébloui par la surprenante maturité de ces caricatures et de cet humour new-yorkais, par les prodigieux pastiches de films, de Lawrence d'Arabie par Mort Drucker, par les couvertures de Norman Mingo, par Jack Davis, Wallace Wood et aussi, dans un st...
Il vous reste 96% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous