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Pujadas, Aminat, et les Experts
Dans l'émission d'@si intitulée Classe télé: quand Pujadas devient Batman, l'émission Cellule de crise présentée par David Pujadas est comparée à « des séries policières où on fait des enquêtes ». Sont ensuite citées des séries telles que Sherlock Holmes, NCIS, Mentalist (dont il fut question par là) ou Les Experts.
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Derniers commentaires
Dans "2001, l'Odyssée de l'espace" (1968) de Kubrik, tout est lumineux et l'ordinateur parle, mais quand de vrais ordinateurs ont été mis en scènes, il fallait adapter le décor comme l'ont été les espaces de travail informatique. Peut-être...
Pour aggraver mon cas, tout ce dont Alain Korkos parle ici Experts, Las Vegas, Manhattan et Miami, j'ai jamais vu autre chose que les photos publiées ici et là.
Je pourrais donc fermer mon clapet sauf que je remarquais pas plus tard que ce weekend le côté bleu, définitivement bleu agrémenté de gris noir et de franchement noir tirant sur le gris désespoir du supplément Magazine de Le Monde made in papier glacé et d'autant plus froid qu'il est bleu et glacé.
Cette mode graphique dont l'origine vient à mon humble avis des vidéos, des écrans ordi et qui a donné toute une série d’œuvres architecturales faites de reflets, de transparence et de lumières LED, et qui ne sont guère différentes, dans la réalité, des images de simulation qui en ont été faites avant qu'elles sortent de terre, images étonnamment nocturnes où les bâtiments sont plongés dans une lumière glauque relevée d'éclats de projecteurs diffusant un halot blafard sur les gugusses esquissés, éclairés de pied, qui arpentent étonnamment les lieux à ces heures tardives et qui ressemblent plus à des zombis qu'à de joyeux futurs habitants des espaces projetés.
Et donc le Magazine de Le Monde qui ne se différencie guère du monde ambiant est d'un bleu givré, métallique, interstellaire, où les humains ont plus l'air d'hologrammes comme Pujadas sur la photo que de personnes faites de chair et de sang.
Et pour noter la différence, je sortais un vieux livre des années septante où toutes les photos baignaient dans l'orange et le bleu azuréen, avec tout plein de vert jaunâtre partout. Alors bien sûr, le côté loukoum de ces derniers tranche par rapport à l'aspect design des publications d'aujourd'hui, mais ce qu'il en ressortait, c'était une joie de vivre alors qu'aujourd'hui, un linceul recouvre tout l'espace médiatique et graphique, d'autant que les personnages ont cet air malade et pas très bien portant accentué par l'absence de maquillage estompant les rides comme l'ont bien noté les enfants de la Classe Télé à propos de Pujadas, ne parlons pas des mannequins anémiés des pages de mode qui ramènent directo au bal des vampires.
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