Mais pourquoi certains parents dissimulent-ils sous des emojis les visages de leurs enfants en bas âge, y compris à destination de leurs amis Facebook ? Les usagers s'adaptent aux nouveaux risques, estime André Gunthert, y compris au risque...de se voir infliger plus tard un procès par leurs enfants, comme put le laisser craindre en 2016 un fait-divers en Autriche (affaire qui se révéla un mois plus tard totalement fausse). Quoi qu'il en soit, estime notre chroniqueur, la transparence suppose la confiance. Laquelle, avec les réseaux sociaux, est manifestement à reconstruire. "Si de plus en plus de gens refusent de jouer le jeu du dévoilement, c'est qu'ils ne se sentent plus protégés par le contrat social"
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