Non, Internet n'est pas une "zone de non-droit"
La preuve par les chiffres
déclarait que "L'internet est un danger public puisque ouvert à n'importe qui pour dire n'importe quoi". Le CSA accueillait alors à Paris le premier "Sommet mondial des régulateurs sur Internet et des services électroniques", conviant tranquillement plusieurs pays bien connus des défenseurs de la liberté d'expression (dont l'Iran et la Syrie, deux des "20 pays ennemis de l'Internet" alors identifiés par Reporters Sans Frontières). Plus de 15 ans après, et malgré l'adoption de nombreuses lois, on trouve encore des politiques et des médias véhiculant tout aussi tranquillement la rumeur voulant qu'Internet serait une "zone de non-droit".
A la fin des an...
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