Autodafé de Corans : de la provocation marginale à la polémique mondiale
"Islam is of the devil". "L’islam vient du diable". Les trois pancartes devant lesquelles le pasteur se tient droit et fier, font actuellement le tour du monde. Depuis plusieurs semaines, déjà, l’énergumène a annoncé son intention de brûler des Corans pour «commémorer» le 11 septembre à sa manière. Depuis 1996, il est à la tête d'une communauté pentecôtiste, dans la ville de Gainesville, en Floride, «Le centre colombe pour aider le monde», qui compte... une petite trentaine de fidèles, selon les autorités américaines (une cinquantaine selon sa communauté). Qu’importe, la provocation fa...
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