"60 Millions", énième service public menacé par l'État ?
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Commentaires préférés des abonnés
G Milgram, très bonne référence <3
Bonjour Loris,
Je ne suis pas persuadé que votre hypothèse sur le peu de vigueur du lobby des légumineuses soit la bonne. À mon sens, mais ce n'est aussi qu'une hypothèse, c'est beaucoup plus simple : les agriculteurs qui font des légumineuses font au(...)
Pour accréditer cette idée, quand on regarde les membres du lobby des légumes secs, on voit pas mal de semenciers qui font donc des semences aussi pour l'alimentation animale : Top Semences, Limea, Id Grain, etc. On a aussi QualiSol qui fait aussi de(...)
Derniers commentaires
Bonjour Loris,
Je ne suis pas persuadé que votre hypothèse sur le peu de vigueur du lobby des légumineuses soit la bonne. À mon sens, mais ce n'est aussi qu'une hypothèse, c'est beaucoup plus simple : les agriculteurs qui font des légumineuses font aussi d'autres cultures (c'était peut-être le sens de la remarque de Thyanid dans le chat). Comme vous l'avez dit les légumineuses s'inscrivent dans une rotation de cultures pour fixer l'azote. Or, les autres cultures qui seront mises en place avant ou après les légumineuses ont de bonnes chances d'être destinées à l'alimentation animale. Et ça serait à vérifier, mais il y a aussi de bonnes chances que dans le chiffre d'affaires de ces agriculteurs ou agricultrices, les légumineuses n'en soient qu'une petite partie.
Excellente émission, as usuel. Sur l invendable, comprends pas comment commander car KissKiss déjà fini
G Milgram, très bonne référence <3
Pour le dire autrement, les organismes de défense des consommateurs sont une vraie gène pour les multinationales. Comme l'INC et "60 millions de consommateurs" sont des services publics, et que Macron (pas plus que Chirac, Sarkozy ou Hollande) n'a rien à refuser à Arnault, Bolloré, Pinault, Niel et consorts, la solution est très simple : baisser le financement jusqu'à l'effondrement. On arrive maintenant au stade final de cette stratégie. Tout ce petit monde sera très content d'être débarrassé de ces gêneurs. Les consommateurs, sans doute moins. La solution ? On peut commencer par s'abonner à "60 millions"...
