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Commentaires

à coucher dehors

Au-delà des savantes circonvolutions attendues pour évoquer la collaboration de son prédécesseur Félicien Marceau

Derniers commentaires

L'intellectuel transcende ses émotions, il exprime et rationalise le sentiment qui l'habite
Finkielkraut est l'intellectuel de la peur
Chacune de ses interventions me le confirme
Sa vision du monde arabe ou musulman,
sa vision d'internet,
sa réaction sur ce billet (de M. Schneidermann)
Pour lui, toute nouveauté ou changement est un péril auquel il faut s'opposer
Hélas la peur précède de peu la haine.
Chemin parcouru depuis longtemps par M. Zemmour.

Pour finir la haine exacerbe les antagonismes,
par effet miroir elle s'amplifie jusqu'à la justification de la violence
C'est un chemin sur lequel nous sommes déjà bien engagé
à l'échelle d'une société c'est 50ans de malheurs
nous sommes en route...
Comme le débat continu, j’apporte deux rectifications :

Aylan se prénomme Alan, en vrai.
Il n’a pas été retrouvé sur une plage de Lesbos, mais à Bodrum, en Turquie.
Ci dessous le texte expédié à Alain Finfielkraut à son adresse sur France Culture.
Quelque chose comme une bouteille à la mer.

Bonsoir monsieur,

Je viens d’écouter votre entrevue avec une journaliste d’une radio périphérique, madame Levy, je crois.

Au cours de cet entretien, vous vous livrez avec semble-t-il un plaisir mal dissimulé à une agression verbale contre Daniel Schneiderman. s

Je ne connais pas ce monsieur si ce n’est que je suis abonné au site Arrêt sut Images dont il est le gestionnaire.

Lui-même pourra vous confirmer que je n’ai jamais fait preuve d’aucune « compassion » à son endroit.

Mais que vous vous permettiez, du haut de je ne sais quelle autorité acquise, de dire qu’il est haineux, là c’est un peu fort.

Vous voilà académicien, c’est-à-dire dépositaire des valeurs de culture et de tolérance qui fondent notre république.
Je ne crois pas que vous méritez cet honneur.

Je crois donc que vous l’avez obtenu par la « grâce de circonstances favorables ».

C’est là que les guillemets ont un rôle.

Croyez, Monsieur l’académicien, en l’expression de mon mépris républicain et désolé.

Quelqu'un pourrait-il donner un lien qui permette de s'adresser à ce M. Finkielkraut ad hominem ?
Je pourrais le faire ici, mais c'est à la fois trop indirect et trop facile.
Je préfère les yeux dans les yeux.
Hallucinante réaction de Finkielkraut. J'en suis bouche bée. Schneidermann, Dieudonné, même combat pour lui. La haine, Daniel, la Haaaaiiiine ! C'est vrai que ça fraichit un peu ces jours ci, on supporte bien une petite haine.
Je viens d'écouter ceci.
Sur le cul, je suis.
ET j'en profite pour renouveler à notre lider maxmo l'assurance de mon soutien, whatever.
Etre ainsi insulté par un chantre de la haine réactionnaire est un gage de valeur. Je répète. De valeur.

Putain d'académie !
"Il trouvait grand plaisir, par exemple, à sa situation de "persécuté" et d'"exilé". Ces deux termes auréolés d'un prestige en quelque sorte classique, l'avaient séduit une fois pour toute ; le rehaussant progressivement dans sa propre estime, ils avaient fini par le placer à ses yeux sur une sorte de piédestal élevé et fort agréable pour son amour-propre."

Cette présentation de Stepane Trophimovitch, personnage du roman "Les Démons" de Dostoïevski, semble avoir été écrite pour notre paria autoproclamé ! :-)
Fin..kiel... quoi???

Ah!... le vieux schnock allumé qui n'arrête pas d’éructer des anathèmes racistes et tendancieux dans les émissions de radio et de tévé !?
A l'Académie Française?
MDR :-)
[large]Réponse de Finkielkraut[/large]

"C'est un spectacle terrifiant que celui d'un homme à la fois aveuglé et abêti par la haine...."
Finkie un peu ignare, on dit : "Un nom à coucher dehors avec un billet de logement !"

Enfin tenter de faire croire qu'il est un salaud ou un facho (pardon pour le pléonasme) c'est un contresens indigne !

PG
Nul D.S. finkiel est a gauche , comme onfray , comme regis debray

l'alalie pour finkiel qualifier de "neo-reac" au journal de la 3 a 22h30....

Ne parlons pas de Val , il n'y a plus de qualificatif pour lui

D.S. commissaire du peuple des médias ( part )

a vomir

pauvre con , t'es juste du cotê du manche , tu n'es que ça....pouah....

c'est moi ou ça sent fort....?
A coucher dehors et à dormir debout.
[quote=Qui couche dehors aujourd'hui ? Pas vous, ni moi. Ce sont les sans-nom de la jungle de Calais, et tous les petits Aylan des plages de Lesbos.]

Daniel Schneiderman ou la bienpensance à fond la caisse.

Vous savez il y a aussi des blancs ou des noirs autochtones qui couchent dehors. Mais étrangement votre esprit pense en premier... aux clandestins.

Et bien sûr il faut ressortir le petit Aylan pour faire taire tout débat. Le point Godwin a été atteint très vite !

Je n'aime pas la dictature de l'émotion. Surtout quand il s'agit d'une émotion intéressée.

Ce qui est "cool" avec les "migrants" c'est qu'une certaine gauche peut parler en leur nom sans craindre d'être contredite car cette catégorie sociale n'a pas de représentation politique, contrairement aux ouvriers que les enfants de la petite bourgeoisie - Cohn Bendit & Co -ont voulu manipuler en 68. Opération qui s'est soldée par un échec.

De nos jours les petits bourgeois de NO Borders instrumentalisent les immigrants de Calais et Schneiderman fait de même pour dézinguer Finkielkraut.
Bonne chronique !

Cela fait longtemps, très longtemps qu'Alain Finkielkraut fait partie de l'establishment, de la Nomenklatura française.

Il peut toujours dire l'inverse, cela ne changera rien à l'affaire. C'est pourquoi, nous pouffons tous de rire à son sujet.
Cette image du petit juif de cour de récré a déjà été utilisée par Finkielkraut de façon bien plus heureuse dans un de ses premiers ouvrages Le Juif imaginaire où il expliquait n'avoir justement jamais connu de traumatisme de petit juif de cour de récré découvrant sa judaïté par le biais de l'antisémitisme dont la présentation est la suivante :
Le juif errant, c'est moi ; le détenu famélique au pyjama rayé, c'est moi, moi le torturé de l'inquisition, moi Dreyfus à l'île du diable.
Voilà le roman dans lequel j'ai passé mon adolescence. Le différent, l'écorché vif, le rescapé : je n'en finissais pas de brandir et de savourer cette image. Du judaïsme, je ne retenais que l'adjectif auquel il me donnait droit et l'usage narcissique que je pouvais en faire. J'allais chercher dans mes origines, les fastes que me refusait la trame sans accroc d'une existence studieuse et sage. J'étais d'un seul tenant, un juif authentique et un juif imaginaire.

Au début des années 80, Finkielkraut avait un regard bien plus lucide sur son identité... Peut-être le naufrage de l'identité française qu'il regrette à longueur de chronique et de texte n'est que le reflet de son propre naufrage.

Accessoirement, je dois toujours vérifier l'orthographe de son nom. Je ne sais jamais où placer le deuxième k, j'oublie le deuxième i et j'ai toujours envie de rajouter un h (tout comme pour Schneidermann, je vérifie s'il y a bien un c et un i ainsi qu'un deuxième n)
Ce n'est pas très juste pour Félicien Marceau, belge pendant l'occupation et qui n'aurait à se reprocher que d'avoir déplorer les victimes des bombardements alliés au cours d'un reportage (voir sa fiche wikipedia). Voilà qu'on l'imagine claquant la bise à tout porteur de croix gammées.
À croire qu'on fait la leçon aux journalistes pour ajouter le détail croustillant.
C'est comme pour Michel Tournier, je n'ai aucun souvenir d'un scandale dans la presse sur une prétendue position antiavortement. La source donnée était un article étasunien (l'avortement est leur obsession) qui disait que untel a dit qu'il l'a dit. Tu parles si c'était impératif de citer ça dans sa nécrologie.

Enfin bon ça fait jaser, c'est le but.
Le siège d'un collabo, je serais Finkelkraut je me demanderais bien pourquoi c'est celui-là qu'on me donne!
Et puis, bon, Darrieussecq, c'est un nom à coucher dehors (elle est venue voter une fois au bureau que je présidais, j'ai dû épeler trois fois son nom (bon, d'accord, mon assesseur n'était pas très fin) et poyrtant, c'est bien français.

effectivement, ce discours est très parlant : Finkie se victimise (exactement le comportement que la droite réac reproche aux minorités qu'elle ne veut pas protéger...) et donc s'excuse lui-même de toute outrance, toute bêtise, toute agressivité.
que cet homme me fatigue.....
A noter, le sous-titre choisi pour la capture d'écran en fin d'article : "Le philosophe Alain Finkielkraut fait son entrée sous la coupole". Ben oui, l'énergumène parle un peu de la vie, de la mort et de l'ensauvagement des gueux, et en plus il entre à l'Académie, repère d'intellos s'il en est, donc c'est bien qu'il doit être un peu philosophe sur les bords...
Sauf que non, Finkielkraut n'est pas philosophe. Il est, au choix, écrivain, essayiste ou éditorialiste.
Et c'est un classique. Tout comme Zemmour bombardé "historien" (ou Minc, "économiste") du jour au lendemain, les grands médias ont tendance à respectabiliser à coup de titres inventés ses faiseurs d'actu les plus stupides.

...Sauf s'ils considèrent que chacun peut être "philosophe" à sa mesure et que ce titre ne s'acquiert pas par un doctorat de philosophie. Auquel cas j'attends avec impatience que la tête de Sarkozy nous parlant de salade et de rhubarbe soit sous-titrée : "philosophe".
Un nom à coucher dehors.

Alors ils sont nombreux ici en Alsace avec leur consonance germanique. Il n'en reste pas moins irrémédiablement Juifs pour ceux qui parlent le dialecte, alors que du côté de la "France de l'intérieur", ces noms ont l'auréole que la science a donné à de nombreux patronymes et c'est presque si on ne s'excuse pas de demander de l'épeler comme si le nommé était porteur d'un Nobel incognito.

Non, des noms à coucher dehors aujourd'hui, ceux qui font rire ici et là dans les cours de récré et sourire dans les boulangeries ("à quel nom?"), qui font qu'en effet le fonctionnaire de service ne s’embarrasse même pas de vous demander de l'épeler (à priori vous mettant dans la catégorie des analphabètes, de ceux en tous les cas que Collard ne viendra jamais défendre gratuitement) mais vous demande un autre papier officiel où votre nom est écrit pour le reproduire en mettant un h de trop ou pas assez, des noms à coucher dehors en voici en voilà.

En tous les cas une chose est certaine, le nom de ce nouvel Immortel ne risque pas d'interrompre le sommeil encore longtemps. Il sera vite oublié comme tous ces Immortels dont la Patrie a reconnu les mérites, des mérites vite oubliés par l'Histoire.

En lisant qu'il avait succédé à Félicien Marceau, j'ai cru un moment très bref qu'il s'agissait du grand Mime Marceau, fils d'un boucher kosher, déporté et mort à Auschwitz. Le mime Marceau né à Strasbourg n'a hélas pas été honoré par l'Académie Française bien qu'il soit connu de tous à travers le monde et que son nom soit immortellement lié à l'art du mime. Mais en l’occurrence, quel dommage que Finkielkraut n'ait pas succédé au mime Marceau, il nous aurait au moins épargné les citations. La seule parole que prononça le mime fut un "NON" catégorique, seul mot dit dans le film muet de 1976 "La dernière folie de Mel Brooks'
Tout le monde n'est pas un Schneidermann ou un Finkielkraut.
A soixante ans, lamentable inconnu, je suis encore obligé d'épeler mon nom
ou de devoir corriger :
- Vous avez oubliez le H
- C'est pas un T mais un D
- Inutile le umlaut sur le U
Bref, que vous soyez grands ou petits ...
Tout le monde peut pas s'appeler Ducon !
Lue encore tout récemment sur @si, cette très intelligente saillie :
La grande question qui me turlupine. Le Sauerkraut, c'est la choucroute, mais le Finkielkraut, c'est quoi comme plat ?
Et encore, ce n'est pas la pire, comparée à toutes celles à base de "crotte".
Moi , ce sont ses idées et ses discours racistes qui me font éternuer... Soutenu par le vieux poseur de droite qu'est d'Ormesson et perpétuellement larmoyant et vindicatif, il est chouette le nouvel académicien...
Ce matin, j'ai pris à la volée une phrase de Patrick Boucheron sur France Inter. (Je ne l'écris pas entre guillemets car je ne suis pas sûr à 100%).

Après une journée avec Alain Finkielkraut, pourquoi ne pas avoir une journée sans. On a autre chose à faire que d'aller au chevet des mélancolies...

Boucheron l'a un peu enterré. Pour un immortel ça la fout mal!

Ce fut envoyé avec un sourire dans la voix suivi d'une reprise sans voix de P. Cohen.
" Donnez-moi quarante trous du cul et je vous fais une Académie française " ( Clemenceau )
circonvolutions ou circonlocutions ?

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