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"A la guerre, il y a des images propres et des images sales"
Les images des reportages en Afghanistan ressemblent à s'y méprendre à celles tournées en Algérie à la fin des années 1950. La faute à une situation géostratégique similaire, ou à un formatage médiatique ?
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Derniers commentaires
bonjour,
bravo pour le sujet.
je voudrais l'envoyer à un ami, mais est-ce que le sujet est d'utilité publique ? c'est la condition pour qu'il puisse visionner la vidéo.
merci.
bravo pour le sujet.
je voudrais l'envoyer à un ami, mais est-ce que le sujet est d'utilité publique ? c'est la condition pour qu'il puisse visionner la vidéo.
merci.
Un très bon article de Mélenchon sur son blog :
Extrait :
Une bonne preuve de cet effet d’opportunité est que l’invasion militaire de l’Afghanistan a été préparée par les Américains et les Britanniques plusieurs mois avant le 11 septembre. Dès l’été 2001, les Américains avaient commencé à envoyer des commandos en Afghanistan et avaient pré positionné d’importantes forces en Egypte tout en déployant avec les Britanniques leurs flottes en mer d’Oman pour préparer l’invasion du pays. Les vrais motifs de l’invasion étaient donc ailleurs que dans la réplique à Oussama Ben Laden, qui n’avait d’ailleurs d’autre lien avec l’Afghanistan que de s’y être réfugié dans les montagnes. Souvenons nous que le régime taliban qui gouvernait à l’époque à Kaboul avait déclaré accepter au lendemain du 11 septembre de livrer Ben Laden pour qu’il soit jugé. Mais peu importait alors aux Américains. Colin Powell affirme alors au monde entier que les Etats-Unis détiennent des preuves de l’implication afghane dans les attentats du 11 septembre et qu’elles seront fournies au Conseil de sécurité. Personne ne les a pourtant jamais vues. Personne ne les réclame depuis. Ce tableau est couvert d’une ombre inquiétante depuis l’origine. En effet, les Américains sont très actifs en Afghanistan et au Pakistan depuis la fin des années 1970. Ils se sont fortement appuyés sur les islamistes pour contrer l’influence soviétique dans la région. C’est eux qui ont constitué « Al-Qaïda » à l’époque pour combattre les russes. A ce titre, ils avaient directement armé les Talibans. La prise de pouvoir de ceux-ci à Kaboul en 1996 avait été soutenue par deux alliés de poids des Etats-Unis : l’Arabie Saoudite et le Pakistan. Tout ce passé semble s’être évanoui des souvenirs officiels et des « argumentations » du présent. Pourquoi ?
LIEN
Extrait :
Une bonne preuve de cet effet d’opportunité est que l’invasion militaire de l’Afghanistan a été préparée par les Américains et les Britanniques plusieurs mois avant le 11 septembre. Dès l’été 2001, les Américains avaient commencé à envoyer des commandos en Afghanistan et avaient pré positionné d’importantes forces en Egypte tout en déployant avec les Britanniques leurs flottes en mer d’Oman pour préparer l’invasion du pays. Les vrais motifs de l’invasion étaient donc ailleurs que dans la réplique à Oussama Ben Laden, qui n’avait d’ailleurs d’autre lien avec l’Afghanistan que de s’y être réfugié dans les montagnes. Souvenons nous que le régime taliban qui gouvernait à l’époque à Kaboul avait déclaré accepter au lendemain du 11 septembre de livrer Ben Laden pour qu’il soit jugé. Mais peu importait alors aux Américains. Colin Powell affirme alors au monde entier que les Etats-Unis détiennent des preuves de l’implication afghane dans les attentats du 11 septembre et qu’elles seront fournies au Conseil de sécurité. Personne ne les a pourtant jamais vues. Personne ne les réclame depuis. Ce tableau est couvert d’une ombre inquiétante depuis l’origine. En effet, les Américains sont très actifs en Afghanistan et au Pakistan depuis la fin des années 1970. Ils se sont fortement appuyés sur les islamistes pour contrer l’influence soviétique dans la région. C’est eux qui ont constitué « Al-Qaïda » à l’époque pour combattre les russes. A ce titre, ils avaient directement armé les Talibans. La prise de pouvoir de ceux-ci à Kaboul en 1996 avait été soutenue par deux alliés de poids des Etats-Unis : l’Arabie Saoudite et le Pakistan. Tout ce passé semble s’être évanoui des souvenirs officiels et des « argumentations » du présent. Pourquoi ?
LIEN
statistique pure: combien de fois évoquez vous, comme titre de presse, l'existence même de Politis, de l'Humanité, de Marianne???
Jamais
censure, vous avez dit censure?
Danielle Blin
Jamais
censure, vous avez dit censure?
Danielle Blin
J'ai trouvé l'émission excellente . J'ai remarqué que Pierre Babey a éludé la question de DS lorsqu'il lui a demandé de dire si les reportages et les sujets tournés au milieux des soldats etaient oui ou non dictés par le service de presse de l'armée
Salut tutti
ça fait quelques années que je suis @si et je trouve que cette émission commence à se rapprocher de la qualité télé d'antan. Mais en vieux ringard du format télé, je reste un peu sur ma faim pour la chute. Ca serait pas cool de mettre un petit générique de fin, histoire de rappeler le nom des intervenants ( à table et derrière les caméras) leur job etc. et de nous permettre une transition plus paisible vers notre médiocre quotidien?! Oui, non, possible, pas possible, intéressé?
Merci pour votre excellent travail, c'est vraiment la grande classe et ça fait beaucoup de bien.
ça fait quelques années que je suis @si et je trouve que cette émission commence à se rapprocher de la qualité télé d'antan. Mais en vieux ringard du format télé, je reste un peu sur ma faim pour la chute. Ca serait pas cool de mettre un petit générique de fin, histoire de rappeler le nom des intervenants ( à table et derrière les caméras) leur job etc. et de nous permettre une transition plus paisible vers notre médiocre quotidien?! Oui, non, possible, pas possible, intéressé?
Merci pour votre excellent travail, c'est vraiment la grande classe et ça fait beaucoup de bien.
Monsieur Alain Korkos ne vous laissez plus faire!!!!!
Votre patron (?) est un censeur doublé d'un horrible dictateur.
j'ai été très choqué par cette attitude, ce bras tendu, main ouverte voulant dire <>
Aaaaah quel manque de respect ( y compris pour les @sinautes).
Votre patron (?) est un censeur doublé d'un horrible dictateur.
j'ai été très choqué par cette attitude, ce bras tendu, main ouverte voulant dire <>
Aaaaah quel manque de respect ( y compris pour les @sinautes).
DS avait il un train à prendre??????
J'en perds tout mon courage qui n'est certes pas bien gros. Cela fait déjà 8 mois qu'on lui répète de prendre son temps, et il revient comme un pittbull coupant jacques pour mieux sectioner Jean en pleine phrase. Et si on lui coupait son micro???
J'ai aimé Mr Korkosss et sa mimique estomaquée de se faire museler. Résistez tous autant que vous êtes dans la pièce blanche.
J'ai vomi les coupures de l'émission.
Et sur le fond, j'ai moi aussi pas appris grand chose du débat : et pourtant je suis bon public, mais là je me suis même attelé à changer mes patins de freins de vélo pendant le visionnage. Première fois que cela m'arrive.
Voilà...plein de choses à améliorer pour cette rentrée même si je vous adore tout les jours un peu plus.
J'en perds tout mon courage qui n'est certes pas bien gros. Cela fait déjà 8 mois qu'on lui répète de prendre son temps, et il revient comme un pittbull coupant jacques pour mieux sectioner Jean en pleine phrase. Et si on lui coupait son micro???
J'ai aimé Mr Korkosss et sa mimique estomaquée de se faire museler. Résistez tous autant que vous êtes dans la pièce blanche.
J'ai vomi les coupures de l'émission.
Et sur le fond, j'ai moi aussi pas appris grand chose du débat : et pourtant je suis bon public, mais là je me suis même attelé à changer mes patins de freins de vélo pendant le visionnage. Première fois que cela m'arrive.
Voilà...plein de choses à améliorer pour cette rentrée même si je vous adore tout les jours un peu plus.
Emission certainement intéressante mais inaudible du fait de l'écho... C'est très dommage car cela anéantit tout le travail de journalisme réalisé...
Ainsi donc, les images de 2008 seraient identiques à celles de 1959 .? Non, trois fois non.
Ce qui saute au yeux au visionnage des extraits de "5 colonnes...", c'est la volonté des commentaires et des journaliste de l'époque de souligner la bêtise et la tartufferie des "événements" d'Algérie. Pas de manière directe, bien sûr. Mais par une forme de résistance, "sémantique" dirons-nous.
En 2008, à la télé, on pas pas de censeur au banc de montage pour veiller à la bonne image de la France, on est la France.
Deux exemples.
Le courrier aux soldats. En 2008, le courrier et les colis, c'est "le moral des troupes", comme l'indique un militaire. Point. En 1959, il y a ce commentaire plein d'emphase sur la maman si loin de son fils, qui souffre de cette séparation, et lui, le fils, dans la pénombre de la tente. Toute l'absurdité de la guerre résumé en 10 secondes.
L'interview des gradés. En 2008, le militaire récite son catéchisme à un journaliste le petit doigt sur la couture. Point. En 1959, le journaliste fait mine de se prendre au jeu du discours civilisateur-patriotique de l'impayable Bigeard et le félicite de sa victoire prochaine sur les felagas. Le ton est tellement faussement enjoué que de nos jours, même un Bernard Kouchner ou un Jack Lang auraient tiqué. Mais à l'époque, l'enthousiasme du journalisme cloue un peu le bec de Bigeard qui appuie sur la pédale de frein et explique en gros que c'est Paris qui décide, hein. Magnifique moment de dégonflage d'une politique baudruche.
Alors, non, 2008 n'est en rien comparable à 1959. 2008, c'est comme si 1959 n'avaient pas existé.
En 2008, quand un journaliste parle de la politique de la Françe à l'étranger, il dit "nous". "Nos" Soldats, "notre" mission, "on" est en Afghanistan, etc. Sur le plateau d'@si, le journaliste de France 3 ne s'offusque pas que certaine images ne peuvent être montrées à l'écran car "l'Occident" ne l'accepterait pas.
Intéressante redéfinition du métier de journaliste en 2008 : représentant de l'Occident qui parle de la France et de ses armées à la première personne du pluriel. L'explication de cette différence entre 5 colonne à la Une et la télé d'aujourd'hui est peut-être à trouver ici.
Ce qui saute au yeux au visionnage des extraits de "5 colonnes...", c'est la volonté des commentaires et des journaliste de l'époque de souligner la bêtise et la tartufferie des "événements" d'Algérie. Pas de manière directe, bien sûr. Mais par une forme de résistance, "sémantique" dirons-nous.
En 2008, à la télé, on pas pas de censeur au banc de montage pour veiller à la bonne image de la France, on est la France.
Deux exemples.
Le courrier aux soldats. En 2008, le courrier et les colis, c'est "le moral des troupes", comme l'indique un militaire. Point. En 1959, il y a ce commentaire plein d'emphase sur la maman si loin de son fils, qui souffre de cette séparation, et lui, le fils, dans la pénombre de la tente. Toute l'absurdité de la guerre résumé en 10 secondes.
L'interview des gradés. En 2008, le militaire récite son catéchisme à un journaliste le petit doigt sur la couture. Point. En 1959, le journaliste fait mine de se prendre au jeu du discours civilisateur-patriotique de l'impayable Bigeard et le félicite de sa victoire prochaine sur les felagas. Le ton est tellement faussement enjoué que de nos jours, même un Bernard Kouchner ou un Jack Lang auraient tiqué. Mais à l'époque, l'enthousiasme du journalisme cloue un peu le bec de Bigeard qui appuie sur la pédale de frein et explique en gros que c'est Paris qui décide, hein. Magnifique moment de dégonflage d'une politique baudruche.
Alors, non, 2008 n'est en rien comparable à 1959. 2008, c'est comme si 1959 n'avaient pas existé.
En 2008, quand un journaliste parle de la politique de la Françe à l'étranger, il dit "nous". "Nos" Soldats, "notre" mission, "on" est en Afghanistan, etc. Sur le plateau d'@si, le journaliste de France 3 ne s'offusque pas que certaine images ne peuvent être montrées à l'écran car "l'Occident" ne l'accepterait pas.
Intéressante redéfinition du métier de journaliste en 2008 : représentant de l'Occident qui parle de la France et de ses armées à la première personne du pluriel. L'explication de cette différence entre 5 colonne à la Une et la télé d'aujourd'hui est peut-être à trouver ici.
Si finalement je ne tiens plus je vais critiquer le décors :
Positif : Le fond est beaucoup est beaucoup plus sobre, ça c'est chouette !
Negatif : on a l'impression qu'on a simplement imprimé et découpé le logo puis collé sur le décors : ça fait cheap !
Positif : Le fond est beaucoup est beaucoup plus sobre, ça c'est chouette !
Negatif : on a l'impression qu'on a simplement imprimé et découpé le logo puis collé sur le décors : ça fait cheap !
Le nouveau décors fait du bien même si je pourrais critiquer certains détails je ne le ferais pas, je ne veux pas être ingrat :
j'ai fait partis de ceux qui ont beaucoup critiqué l'ancien donc je me contenterais de dire que je suis satisfait (à 80% !).
Comme j'ai écrit dans un autre fil de discussion il va quand même falloir corriger le 'logo' incrusté voir même le supprimer.
De tout façon à terme le logo me semble voué à évoluer, celui de l'émission TV était vraiment superde et avait du sens :
n'est-il pas possible de récupérer les droits via l'agence de communication ou de leur commander un nouveau ?
Un arobase dans un carré c'est quand même très générique et je ne vois pas trop le sens qu'il a (ASI n'étant pas un provider,
et même eux ont cessé d'utiliser ce symbole usé jusqu'a à la corde).
J'aime aussi qu'il est des 'séquences' avec d'autres personnes que DS, j'espère que ça continuera dans ce sens.
Bonne continuation !
j'ai fait partis de ceux qui ont beaucoup critiqué l'ancien donc je me contenterais de dire que je suis satisfait (à 80% !).
Comme j'ai écrit dans un autre fil de discussion il va quand même falloir corriger le 'logo' incrusté voir même le supprimer.
De tout façon à terme le logo me semble voué à évoluer, celui de l'émission TV était vraiment superde et avait du sens :
n'est-il pas possible de récupérer les droits via l'agence de communication ou de leur commander un nouveau ?
Un arobase dans un carré c'est quand même très générique et je ne vois pas trop le sens qu'il a (ASI n'étant pas un provider,
et même eux ont cessé d'utiliser ce symbole usé jusqu'a à la corde).
J'aime aussi qu'il est des 'séquences' avec d'autres personnes que DS, j'espère que ça continuera dans ce sens.
Bonne continuation !
Affrontement ? Bataille ? Escarmouche ? Protection des populations civiles ?
Qu’en termes choisis, ces choses là sont dites.
Nous sommes en guerre en Afghanistan et tsarko a bien l’intention de servir la cause étatsunienne quelles qu’en soient les pertes humaines.
Pour mentir au peuple chair-à-canons, la propagande de guerre nous est servie avec tout l’art habituel. Epluchez les arguments des invités, vous y retrouverez plusieurs des 10 commandements de Arthur Ponsonby :
1. Nous ne voulons pas la guerre
2. Le camp adverse est seul responsable de la guerre
3. L’ennemi a le visage du diable (ou « L’affreux de service »)
4. Les buts réels de la guerre doivent être masqués sous de nobles causes
5. L’ennemi provoque sciemment des atrocités, nous commettons des bavures involontaires
6. Nous subissons très peu de pertes, les pertes de l’ennemi sont énormes
7. Notre cause a un caractère sacré
8. Les artistes et intellectuels soutiennent notre cause
9. L’ennemi utilise des armes non autorisées
10. Ceux qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres
Voici comment on veut nous faire avaler les couleuvres.
Il faut nous retirer au plus vite de là-bas.
"Emission internet à durée non limitée" : Ha, ha, ha !!! Depuis que j'entends cet argument (depuis début janvier en fait), je n'ai jamais vu une seule émission dont la durée soit différente du format télé soit 1 heure + ou - 10 minutes. Il ne s'agit que d'un argument commercial mais DS nous la joue style La 5 : il a un compteur greffé dans son cerveau d'où les coupures des invités, les incitations à résumer, à faire court, à ne pas s'étendre "car un sujet a déjà été développé sur le site", etc.
edou
Qu’en termes choisis, ces choses là sont dites.
Nous sommes en guerre en Afghanistan et tsarko a bien l’intention de servir la cause étatsunienne quelles qu’en soient les pertes humaines.
Pour mentir au peuple chair-à-canons, la propagande de guerre nous est servie avec tout l’art habituel. Epluchez les arguments des invités, vous y retrouverez plusieurs des 10 commandements de Arthur Ponsonby :
1. Nous ne voulons pas la guerre
2. Le camp adverse est seul responsable de la guerre
3. L’ennemi a le visage du diable (ou « L’affreux de service »)
4. Les buts réels de la guerre doivent être masqués sous de nobles causes
5. L’ennemi provoque sciemment des atrocités, nous commettons des bavures involontaires
6. Nous subissons très peu de pertes, les pertes de l’ennemi sont énormes
7. Notre cause a un caractère sacré
8. Les artistes et intellectuels soutiennent notre cause
9. L’ennemi utilise des armes non autorisées
10. Ceux qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres
Voici comment on veut nous faire avaler les couleuvres.
Il faut nous retirer au plus vite de là-bas.
"Emission internet à durée non limitée" : Ha, ha, ha !!! Depuis que j'entends cet argument (depuis début janvier en fait), je n'ai jamais vu une seule émission dont la durée soit différente du format télé soit 1 heure + ou - 10 minutes. Il ne s'agit que d'un argument commercial mais DS nous la joue style La 5 : il a un compteur greffé dans son cerveau d'où les coupures des invités, les incitations à résumer, à faire court, à ne pas s'étendre "car un sujet a déjà été développé sur le site", etc.
edou
Le sujet de l'emission etait particulierement bien choisi mais le traitement a peut etre un peu manque de profondeur. L'historien invité n'a pas vraiment ajouté au debat ou tout du moins pas autant que ce qu'il aurait pu.
Je me souviens de l'historien invite pour la sortie d'indigene sur le plateau d'ASI sur la 5eme et il etait nettement plus vif et eclairant.
Il me semble aussi que le point de vue d'un David Abiker sur le plateau aurait pu apporter un soupcon de debat et de controverses qui aurait apporter un plus.
Ceci etant votre mise en ligne des images d'archives et d'envoye special vaut son pesant de cacahuetes.
Maintenant que je suis habitué au format ASI internet je pense que les rubriques du debut d'emission ne sont pas mises en valeur car traitees trop rapidement. Elles seraient par contre parfaites dans une emission separee et avec sa propre identite, qui laisserait aussi plus le temps aux intervenants de debattre/reagir.
(Une revue d'images hebdomadaire de la meme facon qu'il y a des revues de presses quotidiennes)
La chronique, une nouvelle fois excellente, d'Alain a ete expediée relativement rapidement alors qu'elle aurait fait un tres bon sujet de mini debat.
Vous aurez certainement l'option de montrer deux emissions par semaine dans les boxs avec lesquelles vous allez signer un accord. Essaions de faire que ce soit le format flexible SDF de la toile qui s'impose plutot que celui du defunt hertzien. (J'anticipe)
Bonne semaine a tous.
Je me souviens de l'historien invite pour la sortie d'indigene sur le plateau d'ASI sur la 5eme et il etait nettement plus vif et eclairant.
Il me semble aussi que le point de vue d'un David Abiker sur le plateau aurait pu apporter un soupcon de debat et de controverses qui aurait apporter un plus.
Ceci etant votre mise en ligne des images d'archives et d'envoye special vaut son pesant de cacahuetes.
Maintenant que je suis habitué au format ASI internet je pense que les rubriques du debut d'emission ne sont pas mises en valeur car traitees trop rapidement. Elles seraient par contre parfaites dans une emission separee et avec sa propre identite, qui laisserait aussi plus le temps aux intervenants de debattre/reagir.
(Une revue d'images hebdomadaire de la meme facon qu'il y a des revues de presses quotidiennes)
La chronique, une nouvelle fois excellente, d'Alain a ete expediée relativement rapidement alors qu'elle aurait fait un tres bon sujet de mini debat.
Vous aurez certainement l'option de montrer deux emissions par semaine dans les boxs avec lesquelles vous allez signer un accord. Essaions de faire que ce soit le format flexible SDF de la toile qui s'impose plutot que celui du defunt hertzien. (J'anticipe)
Bonne semaine a tous.
Bravo pour cette émission . On constate que le format est en train de se caler .
Entre les brèves du début et le débat suivant je pense qu'il y a un bon équilibre .
Alain Korkos votre lecture des affiches est vraiment grandiose .
Je constate aussi que Daniel , à plusieurs reprises , relance ses questions
sans obtenir de vrai réponses de Mr Babey . C'est enervant ces journalistes
qui ne savent pas utiliser leur métier pour dire la vérité , celle que tout le
monde veut entendre . On a déjà assez de langue de bois des politiques
les journalistes ne savent que les imiter !!!
Oui il s'agit bien d'images de propagande , le ton de ses officiers me
gonflent royalement aussi . On dirait des jeunes coq grimpés sur leurs
ergos , prenant des formules toutes faites du grader autoritaire et abrutis
par la soif de flinguer du "Bougnoule" qu'il soit algérien ou afghan .
Très interessant vraiment .
Entre les brèves du début et le débat suivant je pense qu'il y a un bon équilibre .
Alain Korkos votre lecture des affiches est vraiment grandiose .
Je constate aussi que Daniel , à plusieurs reprises , relance ses questions
sans obtenir de vrai réponses de Mr Babey . C'est enervant ces journalistes
qui ne savent pas utiliser leur métier pour dire la vérité , celle que tout le
monde veut entendre . On a déjà assez de langue de bois des politiques
les journalistes ne savent que les imiter !!!
Oui il s'agit bien d'images de propagande , le ton de ses officiers me
gonflent royalement aussi . On dirait des jeunes coq grimpés sur leurs
ergos , prenant des formules toutes faites du grader autoritaire et abrutis
par la soif de flinguer du "Bougnoule" qu'il soit algérien ou afghan .
Très interessant vraiment .
Etonnant ces soldats afghans qui en 6 mois apprennent la technique militaire française ... en français.
Il m'a semblé qu'entre les 2 interventions du militaire, il y a de l'anglais, mais cela a été consciencieusement gommé.
:)
Il m'a semblé qu'entre les 2 interventions du militaire, il y a de l'anglais, mais cela a été consciencieusement gommé.
:)
La version "podcast" reçue sur i-tunes produit une qualité de son et d'image très supérieure à celle de la lecture directe sur le site. J'apprécierais de pouvoir recevoir l'intégralité des émissions futures sous cette forme.
Pour avoir vécu la guerre d'Algérie en direct de 57 à 59 comme appelé, je reste perplexe sur la perception que cette émission va laisser aux jeunes générations. Je leur recommande de voir d'autres images, et pour ne citer qu'elles, "La bataille d'Alger" de Pontecorvo ou "Avoir 20 ans dans les Aurès" de René Vautier.
Pour avoir vécu la guerre d'Algérie en direct de 57 à 59 comme appelé, je reste perplexe sur la perception que cette émission va laisser aux jeunes générations. Je leur recommande de voir d'autres images, et pour ne citer qu'elles, "La bataille d'Alger" de Pontecorvo ou "Avoir 20 ans dans les Aurès" de René Vautier.
Le commentaire du journaliste en Afghanistan avant l'intervention des anciens talibans qui rejoignent les forces françaises :
"Il y a des gens qui étaient des ennemis hier, et qui le redeviendront peut-être demain"
Ce commentaire signifie clairement que la trahison est une chose, sinon inévitable, mais au moins prévisible.
Voilà ce qui tranche particulièrement avec l'approche de 1959, où l'ex partisan du FLN est traité par le journaliste avec un ton paternaliste qui accueille cet algérien dans le giron rassurant de la France.
L'autre élément de grande différence réside dans les motivations.
En Algérie en 1959, l'ex FLN fuit la misère et le chômage.
En Afghanistan il est question de défendre sa liberté face aux talibans.
La vision de 2008 est elle plus "vraie" que celle de 1959 ?
Ou tout simplement, l'une comme l'autre porte les valeurs et les grandes illusions ou désillusions d'une époque que l'on vient plaquer sur un documentaire.
"Il y a des gens qui étaient des ennemis hier, et qui le redeviendront peut-être demain"
Ce commentaire signifie clairement que la trahison est une chose, sinon inévitable, mais au moins prévisible.
Voilà ce qui tranche particulièrement avec l'approche de 1959, où l'ex partisan du FLN est traité par le journaliste avec un ton paternaliste qui accueille cet algérien dans le giron rassurant de la France.
L'autre élément de grande différence réside dans les motivations.
En Algérie en 1959, l'ex FLN fuit la misère et le chômage.
En Afghanistan il est question de défendre sa liberté face aux talibans.
La vision de 2008 est elle plus "vraie" que celle de 1959 ?
Ou tout simplement, l'une comme l'autre porte les valeurs et les grandes illusions ou désillusions d'une époque que l'on vient plaquer sur un documentaire.
La barbe me choque...
Je sais pas... Ça change trop... Je crois que je vais me suicider.
Adieu.
Je sais pas... Ça change trop... Je crois que je vais me suicider.
Adieu.
Le sujet du débat, excellent et potentiellement très intéressant à explorer, nous a tout de suite attiré. Après visionnage, nous sommes très déçus par le manque de profondeur du débat (si tant est qu’un débat ai eu lieu sur le plateau ?). Les chroniqueurs d’Arrêt sur images étaient les seuls à dire des choses intéressantes, c’était à se demander pourquoi les invités étaient là (pour vendre des livres ?).
Il nous semble Arrêt sur Image est une émission axée sur le décryptage (décryptage d’image, décryptage de langage), or on pourrait faire un Arrêt sur Image sur ce qui a été dit par les invités ! Leur propre langage en dit long sur leur (in)capacité à décrypter, puisque eux-mêmes sont dans la reproduction.
On a relevé les choses suivantes :
- L’opposition entre « terrorisme » d’une part et « guerre noble » d’autre part. Cette opposition est récurrente non seulement en matière de conflits armés mais aussi plus généralement dès qu’on parle de violence. Rappelons tout de même que l’histoire démontre que la guerre, loin d’être un gentlemen’s club finement voire noblement réglementé, est atroce, quels qu’en soient les motifs. L’ «art de la guerre » est avant tout une image, et également un discours sur la guerre, la réalité est tout autre.
- L’association des mots « pédagogie » et « guerre », qui plus est dans la formule « pédagogie de la guerre » nous laisse sans voix !
- Daniel demande « sale pour qui ? » et le journaliste invité répond « pour nous ». Tiens, un « nous », le même nous que celui du « choc des civilisations », le même nous que « nous les honnêtes gens » ? Cela nous a vraiment mis mal à l’aise d’entendre cette phrase, on la trouve nauséabonde et indigne d’Arrêt sur Image, et on aurait souhaité du débat là-dessus Daniel !
L’émission s’attachait à relever les différences et les similitudes. On a quand même eu l’impression que certaines problématiques de fond étaient balayées à la va-vite sous couvert de « différences », notamment :
- Le journaliste invité note comme une différence catégorique le fait que l’Algérie a été pour la France une colonie de peuplement ce qui n’est pas le cas de l’Afghanistan. Bien sûr que c’est une différence importante mais ce n’est pas une raison pour balayer l’axe du rapport de force entre ces deux conflits, qui lui comporte de réelles similitudes. Le fait que la guerre d’Algérie soit une guerre coloniale n’empêche pas les comparaisons, la guerre en Afghanistan se situant elle aussi dans le champ des conflits impérialistes (faut-il rappeler comment les Talibans sont arrivés au pouvoir ?), c’est sur ce point que la comparaison s’établit. Le colonialisme est un exemple d’impérialisme, les intérêts en jeu étant d’ordre à la fois stratégiques et territoriaux (ce qui incluait la problématique spécifique aux colons), en Afghanistan les intérêts sont également stratégiques (géopolitiques et énergétiques notamment).
- Le journaliste invité refuse la comparaison sur le thème éducationnel lorsqu’il dit qu’il y a une différence radicale entre une école pour les civils et une école militaire. Certes, mais ce qui est intéressant ce n’est pas tant le statut du public concerné mais bien la représentation de cet enseignement. En l’occurrence on constate que cette éducation est présentée d’une façon qui évoque tout à fait celle de la « mission civilisatrice’ . Rappelons que la « mission civilisatrice » faisait partie de l’arsenal de justification du colonialisme qui, loin d’être présenté comme un fait guerrier (pillage, génocide, ségrégation, esclavage humain, mise à sac des ressources naturelles) était présenté comme une œuvre humaniste pour apporter « la » civilisation (pas n’importe laquelle, celle de l’Europe) au reste du monde (voir par exemple les manuels scolaires français d’époque). Ici aussi, la notion d’enseignement apporté est mise en avant dans un discours de légitimation de la présence française en Afghanistan. On notera aussi, toujours d’après le journaliste invité, qu’il s’agit d’éduquer les Afghans « pour qu’ils puissent ensuite eux-mêmes », et que le jour où « ils pourront eux-mêmes » paraît plus qu’indéterminé. Et on fait aussi le rapprochement avec le colonel quand il dit faire la guerre d’Algérie « pour eux ».
Quelques commentaires sur des choses qui, à notre grande surprise, n’ont pas été traitées (décryptées !) au cours de l’émission:
- Le mot « croisade » dans l’interview du colonel, un mot tout sauf anodin.
- Le militaire interviewé en Afghanistan qui insère « à nouveau » dans pour ne pas que notre pays soit « à nouveau » menacé. Tiens tiens, c’est intéressant ça non ?
- Ah l’école, c’est mignon. Mais qu’est-ce que les enfants apprennent dans cette école ? ils apprennent : « à l’école, je ne mets pas mon chèche sur la tête », là non plus ce n’est pas anodin ! (c.f. commentaire sur la mission civilisatrice plus haut)
- Sur la notion d’embuscade (et de décès de soldats français) similaire en tant qu’événement clef et qui fait basculer la présentation du conflit. C’est un point très intéressant. On a bien aimé la discussion sur le fait que cela faisait basculer le langage et imposait de fait le terme de guerre. A cela on pourrait ajouter que sans doute la mort de français est aussi un événement qui casse une représentation pour ouvrir la porte sur une autre : car le soldat français, celui qui est en croisade, complètement dans cette ambiguïté à la fois dans du « pour eux » et du « pour nous », celui qui est gentil, voire noble, et qui éduque, est un peu intouchable, pour toutes ces raisons. Et là il tombe. Parce qu’il n’est pas intouchable, et toutes ces histoires qu’on raconte sont fausses, à la finale c’est juste une guerre, avec des soldats qui meurent. Il est évident que ce genre d’événement est donc très policé (décisions très précises émanant du gouvernement pour ce qui est de la représentation des cercueils, cérémonies, etc.).
Bref, au secours ! Pitié choisissez mieux vos invités à l’avenir !
Sarah et Nicolas.
PS : En tant qu’abonné, je souhaiterais vraiment un effort au niveau des intervenants invités, soit en en prenant des meilleurs soit en n’en prenant pas du tout (Alain Korkos et Daniel suffisent amplement !), et surtout lorsqu’il s’agit de sujet polémiques. Quand je dis meilleurs intervenants, je pense à des spécialistes (sémiologues, anthropologues, sociologues, experts du marketing politique, etc.) ou à des non-spécialistes, mais des gens qui aient une certaine INDEPENDANCE, et un certain RECUL ce qui est indispensable pour produire du « décryptage », non ? Parce que si ça continue comme ça, je vous rends mon tablier.
Nicolas.
Il nous semble Arrêt sur Image est une émission axée sur le décryptage (décryptage d’image, décryptage de langage), or on pourrait faire un Arrêt sur Image sur ce qui a été dit par les invités ! Leur propre langage en dit long sur leur (in)capacité à décrypter, puisque eux-mêmes sont dans la reproduction.
On a relevé les choses suivantes :
- L’opposition entre « terrorisme » d’une part et « guerre noble » d’autre part. Cette opposition est récurrente non seulement en matière de conflits armés mais aussi plus généralement dès qu’on parle de violence. Rappelons tout de même que l’histoire démontre que la guerre, loin d’être un gentlemen’s club finement voire noblement réglementé, est atroce, quels qu’en soient les motifs. L’ «art de la guerre » est avant tout une image, et également un discours sur la guerre, la réalité est tout autre.
- L’association des mots « pédagogie » et « guerre », qui plus est dans la formule « pédagogie de la guerre » nous laisse sans voix !
- Daniel demande « sale pour qui ? » et le journaliste invité répond « pour nous ». Tiens, un « nous », le même nous que celui du « choc des civilisations », le même nous que « nous les honnêtes gens » ? Cela nous a vraiment mis mal à l’aise d’entendre cette phrase, on la trouve nauséabonde et indigne d’Arrêt sur Image, et on aurait souhaité du débat là-dessus Daniel !
L’émission s’attachait à relever les différences et les similitudes. On a quand même eu l’impression que certaines problématiques de fond étaient balayées à la va-vite sous couvert de « différences », notamment :
- Le journaliste invité note comme une différence catégorique le fait que l’Algérie a été pour la France une colonie de peuplement ce qui n’est pas le cas de l’Afghanistan. Bien sûr que c’est une différence importante mais ce n’est pas une raison pour balayer l’axe du rapport de force entre ces deux conflits, qui lui comporte de réelles similitudes. Le fait que la guerre d’Algérie soit une guerre coloniale n’empêche pas les comparaisons, la guerre en Afghanistan se situant elle aussi dans le champ des conflits impérialistes (faut-il rappeler comment les Talibans sont arrivés au pouvoir ?), c’est sur ce point que la comparaison s’établit. Le colonialisme est un exemple d’impérialisme, les intérêts en jeu étant d’ordre à la fois stratégiques et territoriaux (ce qui incluait la problématique spécifique aux colons), en Afghanistan les intérêts sont également stratégiques (géopolitiques et énergétiques notamment).
- Le journaliste invité refuse la comparaison sur le thème éducationnel lorsqu’il dit qu’il y a une différence radicale entre une école pour les civils et une école militaire. Certes, mais ce qui est intéressant ce n’est pas tant le statut du public concerné mais bien la représentation de cet enseignement. En l’occurrence on constate que cette éducation est présentée d’une façon qui évoque tout à fait celle de la « mission civilisatrice’ . Rappelons que la « mission civilisatrice » faisait partie de l’arsenal de justification du colonialisme qui, loin d’être présenté comme un fait guerrier (pillage, génocide, ségrégation, esclavage humain, mise à sac des ressources naturelles) était présenté comme une œuvre humaniste pour apporter « la » civilisation (pas n’importe laquelle, celle de l’Europe) au reste du monde (voir par exemple les manuels scolaires français d’époque). Ici aussi, la notion d’enseignement apporté est mise en avant dans un discours de légitimation de la présence française en Afghanistan. On notera aussi, toujours d’après le journaliste invité, qu’il s’agit d’éduquer les Afghans « pour qu’ils puissent ensuite eux-mêmes », et que le jour où « ils pourront eux-mêmes » paraît plus qu’indéterminé. Et on fait aussi le rapprochement avec le colonel quand il dit faire la guerre d’Algérie « pour eux ».
Quelques commentaires sur des choses qui, à notre grande surprise, n’ont pas été traitées (décryptées !) au cours de l’émission:
- Le mot « croisade » dans l’interview du colonel, un mot tout sauf anodin.
- Le militaire interviewé en Afghanistan qui insère « à nouveau » dans pour ne pas que notre pays soit « à nouveau » menacé. Tiens tiens, c’est intéressant ça non ?
- Ah l’école, c’est mignon. Mais qu’est-ce que les enfants apprennent dans cette école ? ils apprennent : « à l’école, je ne mets pas mon chèche sur la tête », là non plus ce n’est pas anodin ! (c.f. commentaire sur la mission civilisatrice plus haut)
- Sur la notion d’embuscade (et de décès de soldats français) similaire en tant qu’événement clef et qui fait basculer la présentation du conflit. C’est un point très intéressant. On a bien aimé la discussion sur le fait que cela faisait basculer le langage et imposait de fait le terme de guerre. A cela on pourrait ajouter que sans doute la mort de français est aussi un événement qui casse une représentation pour ouvrir la porte sur une autre : car le soldat français, celui qui est en croisade, complètement dans cette ambiguïté à la fois dans du « pour eux » et du « pour nous », celui qui est gentil, voire noble, et qui éduque, est un peu intouchable, pour toutes ces raisons. Et là il tombe. Parce qu’il n’est pas intouchable, et toutes ces histoires qu’on raconte sont fausses, à la finale c’est juste une guerre, avec des soldats qui meurent. Il est évident que ce genre d’événement est donc très policé (décisions très précises émanant du gouvernement pour ce qui est de la représentation des cercueils, cérémonies, etc.).
Bref, au secours ! Pitié choisissez mieux vos invités à l’avenir !
Sarah et Nicolas.
PS : En tant qu’abonné, je souhaiterais vraiment un effort au niveau des intervenants invités, soit en en prenant des meilleurs soit en n’en prenant pas du tout (Alain Korkos et Daniel suffisent amplement !), et surtout lorsqu’il s’agit de sujet polémiques. Quand je dis meilleurs intervenants, je pense à des spécialistes (sémiologues, anthropologues, sociologues, experts du marketing politique, etc.) ou à des non-spécialistes, mais des gens qui aient une certaine INDEPENDANCE, et un certain RECUL ce qui est indispensable pour produire du « décryptage », non ? Parce que si ça continue comme ça, je vous rends mon tablier.
Nicolas.
excellente émission mais le nouveau format même si j'aime bien les chroniques avant le sujet principal, tronque justement ce sujet principal qui était déjà à certaine émission trop court, et on à un sentiment de vide par rapport au précédent sujet qui avait plus le temps (vide non présent dans les précédente émission, même si j'ai râler plusieurs fois sur la durée trop courte par gourmandise) - alors que l'@sinaute assidu a déjà passer en revue ces chroniques sur le site - résumer ce qui est déjà disponible est il vraiment utile ? question de mauvaise fois, car je connais la réponse, mais faut il qu'il empiète sur l'émission de fond qui se base sur l'interview ? ... Autrement le plateau a déjà un peu plus de gueule - c'est la première fois que je le remarque, alors que l'émission précédente il m'a laisser indifférent (et je trouve la barbe patriarcale de DS tout à fait splendide - il fallait que je le dise)
J'ai été intéressée de bout en bout , j'ai retrouvé le plaisir que j'éprouvais le dimanche vers 12h35 devant ma télé.
Ill faudra cependant se soucier un peu plus de parité...et j'ai regretté que le document que B.Stora s'apprêtait à montrer n'ait pas suscité l'intérêt de D S. puisque l'émission n'a pas de durée fixe.
Ill faudra cependant se soucier un peu plus de parité...et j'ai regretté que le document que B.Stora s'apprêtait à montrer n'ait pas suscité l'intérêt de D S. puisque l'émission n'a pas de durée fixe.
@ Victor
Quand j'interviens sur le plateau, je fais simplement une brève évocation de contenus que j'ai réalisé. C'était le cas de l'iPhone Girl. De plus pour l'affaire iPhone Orange, Daniel l'a juste signalée, en renvoyant au sujet.
L'émission étant découpée, vous pouvez sauter le préambule avec journalistes et chniqueurs si celui-ci ne vous intéresse pas ;-) et vous concentrer sur l'émission elle-même.
Plateau et textes en ligne sur le site se complètent, chacun peut préferer une formule ou l'autre
Quand j'interviens sur le plateau, je fais simplement une brève évocation de contenus que j'ai réalisé. C'était le cas de l'iPhone Girl. De plus pour l'affaire iPhone Orange, Daniel l'a juste signalée, en renvoyant au sujet.
L'émission étant découpée, vous pouvez sauter le préambule avec journalistes et chniqueurs si celui-ci ne vous intéresse pas ;-) et vous concentrer sur l'émission elle-même.
Plateau et textes en ligne sur le site se complètent, chacun peut préferer une formule ou l'autre
Pourquoi ne pas simplement présenter deux versions de la vidéo, l'une intégrale, l'autre ne contenant que la deuxième partie de l'émission ? Comme ça, les @sinautes-déjà-au-courant iraient directement au dossier de fond sans devoir passer par la division en actes (dont on n'aurait peut-être plus besoin ), et les moins-présents referaient le plein de brèves et de chroniques ?
Mais, pour ma part, je regrette aussi que le sujet principal n'ait pas été développé autant qu'il l'aurait mérité. Il faudrait trouver un compromis entre les entretiens passionnants mais longs (encore que la longueur ne soit pas un obstacle pour tous), et la conversation superficielle d'une émission au format télé.
(Sinon, de retour de vacances plutôt longuettes, je rattrape les milliers de contenus et commentaires en retard, et je dois dire que c'est avec un grand plaisir ! J'ai constaté avec joie la transformation du plateau et l'apparition de la nouvelle table. Par contre, il faudra m'expliquer qui est ce nouveau Robinson Crusoé qui a pris la place de DS, c'est très malpoli de ne pas se présenter...)
Mais, pour ma part, je regrette aussi que le sujet principal n'ait pas été développé autant qu'il l'aurait mérité. Il faudrait trouver un compromis entre les entretiens passionnants mais longs (encore que la longueur ne soit pas un obstacle pour tous), et la conversation superficielle d'une émission au format télé.
(Sinon, de retour de vacances plutôt longuettes, je rattrape les milliers de contenus et commentaires en retard, et je dois dire que c'est avec un grand plaisir ! J'ai constaté avec joie la transformation du plateau et l'apparition de la nouvelle table. Par contre, il faudra m'expliquer qui est ce nouveau Robinson Crusoé qui a pris la place de DS, c'est très malpoli de ne pas se présenter...)
Pas le temps de lire les autres posts...donc cet arrêt sur images me rappelle les grandes heures de la 5 - impeccable - sauf, sauf la barbe de Daniel et la vision des chevilles nues et poilues du dit Daniel ! ça finissait par me faire perdre le fil des discussions....
Très bonne rentrée d'@si selon moi. Le sujet principal a, je trouve, été bien traité et m'a éclairé sur un certain nombre d'aspects. DS pose des questions pertinentes et parvient à recentrer le débat quand c'est nécessaire.
J'ai apprécié la présence de Justine Brabant et de Gilles Klein.
Par contre, je ne suis pas persuadé que reprendre des chroniques de la semaine dans l'émission soit une bonne idée. J'ai déjà lu ces chroniques et ne tient pas à en avoir un résumé. Il est assez désagréable de savoir EXACTEMENT ce que A. Korkos va dire sur telle ou telle affiche par exemple. Je me rends compte de la difficulté d'ajouter à l'émission un première partie "exclusive" mais c'est, à mon sens, ça ou rien.
2 possibilités pour moi à partir de maintenant : arrêter de lire les chroniques/contenus divers puisque les meilleurs seront repris dans l'émission ou ne pas regarder la première partie...La 2ème solution a ma préférence.
Pourquoi ne pas utiliser la première partie de l'émission pour introduire des contenus qui sortiraient en même temps que l'émission? Ça me semblerait plus naturel en tout cas.
L'idée a déjà été très massivement proposée mais cette première partie pourrait aussi être l'occasion de parler des forums, et de l'avis des @sinautes sur la précédente émission et la vie du site en général. Avec les réponse de DS bien sûr.
J'ai apprécié la présence de Justine Brabant et de Gilles Klein.
Par contre, je ne suis pas persuadé que reprendre des chroniques de la semaine dans l'émission soit une bonne idée. J'ai déjà lu ces chroniques et ne tient pas à en avoir un résumé. Il est assez désagréable de savoir EXACTEMENT ce que A. Korkos va dire sur telle ou telle affiche par exemple. Je me rends compte de la difficulté d'ajouter à l'émission un première partie "exclusive" mais c'est, à mon sens, ça ou rien.
2 possibilités pour moi à partir de maintenant : arrêter de lire les chroniques/contenus divers puisque les meilleurs seront repris dans l'émission ou ne pas regarder la première partie...La 2ème solution a ma préférence.
Pourquoi ne pas utiliser la première partie de l'émission pour introduire des contenus qui sortiraient en même temps que l'émission? Ça me semblerait plus naturel en tout cas.
L'idée a déjà été très massivement proposée mais cette première partie pourrait aussi être l'occasion de parler des forums, et de l'avis des @sinautes sur la précédente émission et la vie du site en général. Avec les réponse de DS bien sûr.
Très intéressante émission .A propos des archives et du jeune Algérien passé du Fln à l'armée française ,on note qu'il explique qu'il a rejoint le Fln pour échapper à la misère et aux tortures d'individus pris au hasard,mais il est ensuite rapidement interrompu....
Complément de cette remarque : il faut aller voir au Musée de L'Homme l'exposition d'hommage à Germaine Tillion ethnologue en Kabylie ,déportée, et qui a essayé de jouer un rôle de médiatrice pendant la guerre d'Algérie. L'exposition s'achève le 8 septembre
Complément de cette remarque : il faut aller voir au Musée de L'Homme l'exposition d'hommage à Germaine Tillion ethnologue en Kabylie ,déportée, et qui a essayé de jouer un rôle de médiatrice pendant la guerre d'Algérie. L'exposition s'achève le 8 septembre
L'expression écrite d'Arrêt sur images est bonne, mais l'expression orale est émaillée de e..., e...,e... moins agréagles. Peut-on corriger ce défaut?
R. Haure-Placé.
R. Haure-Placé.
Le format de l émission : brèves + dossier est un succès et y retrouver le modèle de l'ancien ASI fait plaisir. La nostalgie n'est pas un péché de ringuardise surtout quand çela a fonctionné pendant tant d'années. L'analyse des affiches de films était remarquable de justesse. Par contre, sur le fond, j'ai trouvé cette analyse sur les images de la guerre particulièrement creuse et ennuyeuse. Les intervenants ont surtout parlé d'eux et n'ont pas fait avancé le schimblic. A la guerre comme à la guerre, on dira toujours la même chose. Un peu comme la rentrée des classes, le bac, les soldes, les bouchons des vacances, et j'en oublie, où l'on nous balance toujours les mêmes images que l'on pourrait copier coller d'une année sur l'autre.
Le fond blanc du décor est quand même très austère, un peu de chaleur serait la bienvenue.
Le fond blanc du décor est quand même très austère, un peu de chaleur serait la bienvenue.
Excellente émission, invités passionnants. J'ai retrouvé avec plaisir les brèves du début d'émission, qui permettent de mettre en valeur certains articles du site. Bravo.
Une émission formidable, indispensable, éclairante. Au fait pourquoi elle n'est pas passée vers midi quarante sur france 5, comme d'hab?
Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Ad lib...
La guerre, faut être initié. Le soldat à la tape, qui sort par une trappe. Les embuscades (un truc basique, comme les fourches caudines? LOL le progrès) qui font un déclic dans l'opinion publique qui se réveille avec écrit "c'est la guerre" sur les unes des journaux (guerre en noir et blanc), ou avec un reportage qui explique que "c'est donc la guerre" sur la télé (guerre en couleur).
C'est pas plutôt les gros titres et les reportages long format du prime time ou choc du 20h qui font le déclic de l'opinion des gens?
Moi si les journalistes ne commentent pas, je ne suis pas choquée plus que ça, parce que franchement, je ne me rend pas vraiment compte de la signification que peut avoir la mort de 10 français dans une embuscade. Enfin je comprends justement exactement ce que c'est que 10 hommes qui meurent, mais que ce soit le tournant décisif de cette "guerre" ça m'échappe. Ce ne sont pas les premiers morts de l'opération militaire en Afghanistan. Mourir un par un, groupés, solitaires, soldat anglais, soldat américain, soldat afghan... so what? And who by fire, who by water, Who in the sunshine, who in the night time, etc. dit Léonard Cohen. J'écoute parler les spécialistes. Je veux comprendre. J'y met de la bonne volonté. Et non, rien de concluant.
Depuis toute petite déjà, je ravalais mes questions en cours d'histoire. Jamais d'explication, seulement des flèches de couleurs, des étoiles. C'est que ça devait couler de source et j'aurais eu l'air bête, mais n'empêche, comment on sait qui gagne? Mystère. En cours d'histoire comme maintenant. En comptant les morts? (On gagne 91 à 10 cette manche, on dirait l'inverse..). Ceux dont on a tué le chef sont déclarés vaincus? (et pour Massoud alors, je sais pas, l'inverse toujours..). Un truc est sûr, si l'armée meurt de faim embourbée dans la neige à manger ses chevaux, forcément les autres ont gagné par abandon. Sinon, il semble que parfois on compte les armes, et celui qui en a le moins perd. Mais c'est pas très net. Parfois la possibilité d'une bombe devrait river le clou à l'adversaire, mais non certains se sont fait damer le pion malgré tout. Justement à cause de l'opinion qu'aurait pas voulu cette bombe.
D'ailleurs mon opinion, pas celle que vous souhaitez comme opinion publique, enfin celle que j'imagine être attendue ( = bon si c'est la guerre, on va soutenir nos troupes envers et contre tout), mon opinion c'est que je ne comprends rien à la guerre, mais rien de rien, sauf dans des situations très binaires (période de occupation allemande, enfin on me signale que non c'était pas à proprement parler une guerre). Mon opinion c'est que ça commence à bien faire de bombarder des gens. Est-ce que les Afghans, les turcs, les iraniens sont venus voir si on avait coupé des tas de têtes vers 1792? On l'aurait mal pris. Dans le bouquin "court serpent" la logique d'évangélisation pousse un occidental à tuer tout un village d'autochtones, complétement isolé par un climat et une géographie très rudes, pour leur apprendre, avec valeur d'exemple!, à respecter les préceptes qu'il veut répandre. Il leur a bien fait rentrer dans la tête ce qu'il veut imposer. Mieux vaut les détruire que de leur laisser leur libre-arbitre et le choix de faire des choses qui nous indisposent. C'est une caricature absurde qu'on peut balayer d'un revers de la main en la disant outrée. Mais pour des civils morts dans un bombardement, quelle différence entre la caricature et la réalité? Quelle leçon de démocratie donne la guerre aux gens qu'elle tue? Pour les soldats, tant mieux si on peut trouver un sens à leur mort qui les fait échapper à l'absurdité, mais je crains qu'à l'instant suprême, l'âme se dérobe face à la gloire et l'honneur militaire, et sans les insulter, elle s'autorise à les regarder comme d'un autre monde, lointain et absurde.
On ne peut pas laisser faire ce qu'on juge être le mal sans agir, si l'on est informé, nous dit-on. A l'échelle des pays, comme si c'était à l'échelle individuel. Ben voyons, on est exemplaire d'humanité à l'échelle individuel, à l'intérieur de notre pays, alors extrapolons au delà de nos frontières. Plus les guerres ont clairement des enjeux économiques (même par ricochet stratégique, on retrouve le coupable "économique" pas loin du lieu du crime), plus on nous la joue psychologie des états et raisons éthiques. Si un gros besoin d'éthique se fait sentir qu'ils se soulagent dans la politique étrangère, dans une économie raisonnée, mesurée, moins guerrière, tiens décidément, il est mal rangé ce monde. L'économie est dans la guerre et la guerre est dans l'économie. Les deux sous la même bannière : pertes et profits.
Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Ad lib...
La guerre, faut être initié. Le soldat à la tape, qui sort par une trappe. Les embuscades (un truc basique, comme les fourches caudines? LOL le progrès) qui font un déclic dans l'opinion publique qui se réveille avec écrit "c'est la guerre" sur les unes des journaux (guerre en noir et blanc), ou avec un reportage qui explique que "c'est donc la guerre" sur la télé (guerre en couleur).
C'est pas plutôt les gros titres et les reportages long format du prime time ou choc du 20h qui font le déclic de l'opinion des gens?
Moi si les journalistes ne commentent pas, je ne suis pas choquée plus que ça, parce que franchement, je ne me rend pas vraiment compte de la signification que peut avoir la mort de 10 français dans une embuscade. Enfin je comprends justement exactement ce que c'est que 10 hommes qui meurent, mais que ce soit le tournant décisif de cette "guerre" ça m'échappe. Ce ne sont pas les premiers morts de l'opération militaire en Afghanistan. Mourir un par un, groupés, solitaires, soldat anglais, soldat américain, soldat afghan... so what? And who by fire, who by water, Who in the sunshine, who in the night time, etc. dit Léonard Cohen. J'écoute parler les spécialistes. Je veux comprendre. J'y met de la bonne volonté. Et non, rien de concluant.
Depuis toute petite déjà, je ravalais mes questions en cours d'histoire. Jamais d'explication, seulement des flèches de couleurs, des étoiles. C'est que ça devait couler de source et j'aurais eu l'air bête, mais n'empêche, comment on sait qui gagne? Mystère. En cours d'histoire comme maintenant. En comptant les morts? (On gagne 91 à 10 cette manche, on dirait l'inverse..). Ceux dont on a tué le chef sont déclarés vaincus? (et pour Massoud alors, je sais pas, l'inverse toujours..). Un truc est sûr, si l'armée meurt de faim embourbée dans la neige à manger ses chevaux, forcément les autres ont gagné par abandon. Sinon, il semble que parfois on compte les armes, et celui qui en a le moins perd. Mais c'est pas très net. Parfois la possibilité d'une bombe devrait river le clou à l'adversaire, mais non certains se sont fait damer le pion malgré tout. Justement à cause de l'opinion qu'aurait pas voulu cette bombe.
D'ailleurs mon opinion, pas celle que vous souhaitez comme opinion publique, enfin celle que j'imagine être attendue ( = bon si c'est la guerre, on va soutenir nos troupes envers et contre tout), mon opinion c'est que je ne comprends rien à la guerre, mais rien de rien, sauf dans des situations très binaires (période de occupation allemande, enfin on me signale que non c'était pas à proprement parler une guerre). Mon opinion c'est que ça commence à bien faire de bombarder des gens. Est-ce que les Afghans, les turcs, les iraniens sont venus voir si on avait coupé des tas de têtes vers 1792? On l'aurait mal pris. Dans le bouquin "court serpent" la logique d'évangélisation pousse un occidental à tuer tout un village d'autochtones, complétement isolé par un climat et une géographie très rudes, pour leur apprendre, avec valeur d'exemple!, à respecter les préceptes qu'il veut répandre. Il leur a bien fait rentrer dans la tête ce qu'il veut imposer. Mieux vaut les détruire que de leur laisser leur libre-arbitre et le choix de faire des choses qui nous indisposent. C'est une caricature absurde qu'on peut balayer d'un revers de la main en la disant outrée. Mais pour des civils morts dans un bombardement, quelle différence entre la caricature et la réalité? Quelle leçon de démocratie donne la guerre aux gens qu'elle tue? Pour les soldats, tant mieux si on peut trouver un sens à leur mort qui les fait échapper à l'absurdité, mais je crains qu'à l'instant suprême, l'âme se dérobe face à la gloire et l'honneur militaire, et sans les insulter, elle s'autorise à les regarder comme d'un autre monde, lointain et absurde.
On ne peut pas laisser faire ce qu'on juge être le mal sans agir, si l'on est informé, nous dit-on. A l'échelle des pays, comme si c'était à l'échelle individuel. Ben voyons, on est exemplaire d'humanité à l'échelle individuel, à l'intérieur de notre pays, alors extrapolons au delà de nos frontières. Plus les guerres ont clairement des enjeux économiques (même par ricochet stratégique, on retrouve le coupable "économique" pas loin du lieu du crime), plus on nous la joue psychologie des états et raisons éthiques. Si un gros besoin d'éthique se fait sentir qu'ils se soulagent dans la politique étrangère, dans une économie raisonnée, mesurée, moins guerrière, tiens décidément, il est mal rangé ce monde. L'économie est dans la guerre et la guerre est dans l'économie. Les deux sous la même bannière : pertes et profits.
J'ai testé le podcast sur mon téléphone windows mobile... Terrible, merci ! Mon forfait illimité / limité à 500mo va en prendre un coup, à 52mo la vidéo, mais vu qu'on ne peut voir les vidéos flash sur les mobiles, c'est déjà bien appréciable.
Big Up au logiciel Super, que vous avez utilisé pour encoder les vidéo ;)
Pour les critiques de l'émission en elle-même, la première partie est effectivement bien courte, la coupure de l'analyse des affiches bien brutale (même s'il y avait très certainement des sujets plus important, il est vrai), et on a l'impression de survoler le sujet sur la communication des armées. Mais je ne doute pas que le format va se mettre en place plus sérieusement la semaine prochaine !
Big Up au logiciel Super, que vous avez utilisé pour encoder les vidéo ;)
Pour les critiques de l'émission en elle-même, la première partie est effectivement bien courte, la coupure de l'analyse des affiches bien brutale (même s'il y avait très certainement des sujets plus important, il est vrai), et on a l'impression de survoler le sujet sur la communication des armées. Mais je ne doute pas que le format va se mettre en place plus sérieusement la semaine prochaine !
comme toujours excellente chronique de Mr Kronos, DS qui coupe ses interlocuteurs comme si la séquence était chronométrée
Que pensez-vous du rapprochement de ces 2 phrases issues des deux commentaires ci-dessus ?
On peut se demander qui est vraiment Monsieur Kronos : est-ce Korkos ou Scheidermann ?
Que pensez-vous du rapprochement de ces 2 phrases issues des deux commentaires ci-dessus ?
On peut se demander qui est vraiment Monsieur Kronos : est-ce Korkos ou Scheidermann ?
Très bon format avec une équipe de choc, vous vous améliorez sans cesse.
Quelques défauts cependant, déjà cités : DS qui coupe ses interlocuteurs comme si la séquence était chronométrée, coupure au montage un peu trop visible (et dommage surtout) dans le résumé de la semaine, et débat clôturé un peu précocement.
Quelques défauts cependant, déjà cités : DS qui coupe ses interlocuteurs comme si la séquence était chronométrée, coupure au montage un peu trop visible (et dommage surtout) dans le résumé de la semaine, et débat clôturé un peu précocement.
comme toujours excellente chronique de Mr Kronos, mais l'intérêt des deux autres, très convenues, ne m'a pas sauté aux yeux.
hum... Le sujet est vraiment intéréssant, mais, avec tout le respect etc..., j'ai du mal a ne pas être un peu déçu... Pas mal d'autre point aurais pu être aborder/approfondit (les nouvelles technologie, la kakisphère et le controle de l'info, le poids de l'autocensure et pourquoi, l'influence de cette embuscade sur le traitement médiatique de la guerre, l'influence des 40 ans de film de guerre et de violence sur la perception du public, la difference avec d'autre guerre, comme celle du golf, et d'irak, ou avec les USA). Certain on été abordé un peu certes... et la représentation médiatique de la guerre est tellement vaste...
Peut être si DS acceptait, de temps en temps, de leur laisser finir une phrase :)?
Peut être si DS acceptait, de temps en temps, de leur laisser finir une phrase :)?
L'intervention de Gilles Klein comporte une petite coquille technique (les aléas du direct sans doute) ; le gadget favori de Julie Guilbault ne contient pas de disque dur mais de la mémoire flash.
Propagande quand tu nous tiens, tu ne nous lâches pas. Le problème dans la guerre c'est ce que l'on peut voir sur la télé française ? Le courrier, la restauration, l'éducation... NON rien de tout cela ne soulève de problème.je li le soulagement de nos pauvres soldats après l'attaque du convoi (dans l'extrait le plus réel).une guerre vite que j'annonce (JT): les belligérants, un peu infographie et hop trop facile. Une grande partie de la télé est toujours sous le contrôle, aucun doute le 22 septembre 2008 les députés seront donc responsable en cas d'echec personne ne pourra reprocher au président, slogan de campagne : (pas de politique pour la politique) truc dans le genre. Des médias pour Qui? Comment ? Pourquoi ? J’espère une grande année du questionnement sur @si.
Très bonne rentrer pour l'émission ça me convient. Un peut plus long, tant il y a d'images de guerre et de réaction médiatique et d'automatisme de propagande et pas uniquement sur le terrain loin de chez nous.
Très bonne rentrer pour l'émission ça me convient. Un peut plus long, tant il y a d'images de guerre et de réaction médiatique et d'automatisme de propagande et pas uniquement sur le terrain loin de chez nous.
bonsoir,
Emission très intéressante, particulièrement le dossier.
Les brèves sont quelques peu négligées ou survolées:il faudrait peut être plus d'images
la chronique d'Alain est trop courte: l'émission est sans durée fixe Daniel vous pouvez bien lui donner deux minutes de plus, d'autant plus que vous le coupez de manière bien peu élégante.
C'est pertinent d'enrichir l'émission de différentes rubriques mais vous pourriez conserver davantage la liberté du net (durée, temps pour les silences...). Il n'y a pas le feu, avec dix minutes de plus pour davantage d'analyses ou d'explications, l'émission sera toujours bien rythmée.
Bon courage
F.
Emission très intéressante, particulièrement le dossier.
Les brèves sont quelques peu négligées ou survolées:il faudrait peut être plus d'images
la chronique d'Alain est trop courte: l'émission est sans durée fixe Daniel vous pouvez bien lui donner deux minutes de plus, d'autant plus que vous le coupez de manière bien peu élégante.
C'est pertinent d'enrichir l'émission de différentes rubriques mais vous pourriez conserver davantage la liberté du net (durée, temps pour les silences...). Il n'y a pas le feu, avec dix minutes de plus pour davantage d'analyses ou d'explications, l'émission sera toujours bien rythmée.
Bon courage
F.
Je reviens juste sur le debut de l emission, et le clip de madona.
Pour preciser que derriere obama et mc cain on retrouve un nom influent : Zbigniew Brzezinski.
Et ses deux fils, l un dans le camp d obama, et l autre dans celui de mc cain.
Tous ca pour dire que la difference entre les deux, n est pas aussi visible que l on veut nous le faire croire.
Mais bien sur il est plus interessant de revenir sur la prononciation du nom de britney que sur ce point...
Pour preciser que derriere obama et mc cain on retrouve un nom influent : Zbigniew Brzezinski.
Et ses deux fils, l un dans le camp d obama, et l autre dans celui de mc cain.
Tous ca pour dire que la difference entre les deux, n est pas aussi visible que l on veut nous le faire croire.
Mais bien sur il est plus interessant de revenir sur la prononciation du nom de britney que sur ce point...
A 10'50'', Alain nous parle des affiches des comédies sentimentales: "Toujours, les personnages sont détourés, il y a un fond blanc et il y a toujours du rose ou du mauve, dans la titraille et dans les vêtements".
Et voici les images correspondantes:
Les images du film
Et voici les images correspondantes:
Les images du film
Merci pour cette émission. Retrouver un format Asi F5 n'est pas désagréable , à condition que les formats plus interviews d'une ou deux personnes sans durée fixe continuent , comme vous l'avez précisé dans votre article.Ça c'est le format type d'@si internet , et je l'apprécie beaucoup . Et faire de comme si on était à la télé sur internet n'est pas forcément la meilleure idée !
Par exemple , j'ai retrouvé sans joie les coupures dues au montage de la première partie de l'émission. En fait c'est vachement désagréable , je m'étais vraiment habitué à la linéarité des paroles. Et A.Korkos a été lui aussi visiblement surpris par l'abrupte conclusion que vous avez faite de son propos ! Pourquoi ? Il fallait que ça dure 17 min maxi , ce début? Le sans durée fixe , ça aussi c'est révolutionnaire , et je m'y suis vite habitué !
Sur le fond , je suis très choqué de la censure des images des cercueils. Elles auraient été vraies ,ces images . Pas bling bling , pas people. On aurait compris que des morts, c'est insupportable. Et que ces morts là précisement sont le résultat de la vengeance des talibans contre la décision d'envoyer plus de soldats. Pour permettre au président d'endosser le lourd manteau de la fonction suprême.
Par exemple , j'ai retrouvé sans joie les coupures dues au montage de la première partie de l'émission. En fait c'est vachement désagréable , je m'étais vraiment habitué à la linéarité des paroles. Et A.Korkos a été lui aussi visiblement surpris par l'abrupte conclusion que vous avez faite de son propos ! Pourquoi ? Il fallait que ça dure 17 min maxi , ce début? Le sans durée fixe , ça aussi c'est révolutionnaire , et je m'y suis vite habitué !
Sur le fond , je suis très choqué de la censure des images des cercueils. Elles auraient été vraies ,ces images . Pas bling bling , pas people. On aurait compris que des morts, c'est insupportable. Et que ces morts là précisement sont le résultat de la vengeance des talibans contre la décision d'envoyer plus de soldats. Pour permettre au président d'endosser le lourd manteau de la fonction suprême.
Je ne suis pas un fan du fond blanc... désolé, mais pour le moment je n'arrive pas en faire abstraction.
Super idée de mettre l'émission en podacast ! Bravo.
Mais pourquoi avoir seulement mis la première partie ? C'est dommage car il est bien pratique de suivre ASI en déplacement ou tranquillement assis sur une chaise longue dans le jardin le week-end (et pas à l'intérieur devant son ordinateur).
Mais pourquoi avoir seulement mis la première partie ? C'est dommage car il est bien pratique de suivre ASI en déplacement ou tranquillement assis sur une chaise longue dans le jardin le week-end (et pas à l'intérieur devant son ordinateur).
J'ai commencé de regarder l'émission , mais mon débit est trop faible . C'est la première fois que j'ai de tels problèmes. Je pense que je vais essayer d'arranger celà.
J'ai vu jusqu'au lancement de la 2ème partie de l'émission . Deux petits commentaires vite fait sur le pouce:
- Justine Brabant semble bien prendre son envol ; sa compétence ,son talent et son impertinence ne sont pas sans me rappeler quelqu'une qui a définitivement changé de ruche...! Je la trouve déjà bien essentielle dans le paysage @siatique. Je trouve aussi que Gilles Klein a un ton , une assurance et un humour pince sans rire qui lui fait être en plus du reste un bon partenaire de plateau. Et Korkos , toujours aussi brillant... Bon allez , j'arrête...
- Daniel , vous avez fait un superbe lapsus qui certes est sorti tout droit de votre...cerveau , mais surtout de l'inconscient qui s'y tient. Sûrement que la gravité du sujet vous a troublé , mais vous avez parlé de " l'embuscade qui a coûté la mort" aux soldats français. Elle leur a malheureusement coûté la vie , ils ont payé de leur vie leur présence là-bas. Leur coûter la mort les auraient rendus immortels et ils seraint toujours parmi nous .
Amicalement.
PS: je vais essayer de regarder la suite , si mon débit a augmenté !
J'ai vu jusqu'au lancement de la 2ème partie de l'émission . Deux petits commentaires vite fait sur le pouce:
- Justine Brabant semble bien prendre son envol ; sa compétence ,son talent et son impertinence ne sont pas sans me rappeler quelqu'une qui a définitivement changé de ruche...! Je la trouve déjà bien essentielle dans le paysage @siatique. Je trouve aussi que Gilles Klein a un ton , une assurance et un humour pince sans rire qui lui fait être en plus du reste un bon partenaire de plateau. Et Korkos , toujours aussi brillant... Bon allez , j'arrête...
- Daniel , vous avez fait un superbe lapsus qui certes est sorti tout droit de votre...cerveau , mais surtout de l'inconscient qui s'y tient. Sûrement que la gravité du sujet vous a troublé , mais vous avez parlé de " l'embuscade qui a coûté la mort" aux soldats français. Elle leur a malheureusement coûté la vie , ils ont payé de leur vie leur présence là-bas. Leur coûter la mort les auraient rendus immortels et ils seraint toujours parmi nous .
Amicalement.
PS: je vais essayer de regarder la suite , si mon débit a augmenté !
Vous voilà avec l'apparence d'un distingué patriarche, DS ! Alors on garde le la b---e ? Bon ! On prend acte.
C'est vrai que cette émission fleure bon l'ASI télé. Elle en a la couleur, le parfum suave, un peu plus décontracté toutefois. Nous allons nous habituer à Justine, Alain et Gilles les podcastés (je n'ai pas encore compris ce que ça voulait dire, mais tant mieux pour ceux qui ont des iphones, je suppose).
Je me demande quand même si vous ne virez pas gôchiste, DS. De la propagande, les reportages embedded de l'armée ? Où êtes-vous allé chercher une chose pareille ?
Et c'est quand même le droit de l'armée de cacher des images si elles sont trop dures. L'information aux yeux non bandés, c'est bon pour ....... Pour qui au fait ?
Oui, c'est vrai, ça ! Pour qui ?
(choeur des @sinautes et d'autres) Ben nous, on aimerait bien !
C'est vrai que cette émission fleure bon l'ASI télé. Elle en a la couleur, le parfum suave, un peu plus décontracté toutefois. Nous allons nous habituer à Justine, Alain et Gilles les podcastés (je n'ai pas encore compris ce que ça voulait dire, mais tant mieux pour ceux qui ont des iphones, je suppose).
Je me demande quand même si vous ne virez pas gôchiste, DS. De la propagande, les reportages embedded de l'armée ? Où êtes-vous allé chercher une chose pareille ?
Et c'est quand même le droit de l'armée de cacher des images si elles sont trop dures. L'information aux yeux non bandés, c'est bon pour ....... Pour qui au fait ?
Oui, c'est vrai, ça ! Pour qui ?
(choeur des @sinautes et d'autres) Ben nous, on aimerait bien !