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A l'assaut de Lanzmann
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Derniers commentaires
bien contente de retrouver "dans le texte" que je déguste aussitôt. je vais ensuite revoir l'émission "a l'assaut de lanzmann" que je mets en relation avec la précédente. tout va bien
le lendemain, je regarde à nouveau y. haenel avec une copine, et au moment de passer à lanzmann, plus de son et une seule image, la première ?
mystère, mystère...est-ce moi qui ne sait plus me servir de mon ordinateur, (ce qui se pourrait ) ou est-ce que l'émission a été supprimée ?
ce soir, même problème... j'essaierai encore demain !
le lendemain, je regarde à nouveau y. haenel avec une copine, et au moment de passer à lanzmann, plus de son et une seule image, la première ?
mystère, mystère...est-ce moi qui ne sait plus me servir de mon ordinateur, (ce qui se pourrait ) ou est-ce que l'émission a été supprimée ?
ce soir, même problème... j'essaierai encore demain !
Puisqu'on le demande. J'ai été très touché, parce que j'aime cela, par la virtuosité critique et journalistique de Frédéric Ferney et de Judith Bernard, laquelle J.B., était, en fait, le centre mérité, génial, du spectacle. Mais en même, temps, son envahissement , sa passion, la maîtrise du sujet, l'envie de dire, ont relégué Ferney au second plan, je dirais même, dans les lointains, y compris, parfois, sur le mode de l'injonction. Donc effectivement, quand c'est de cette qualité, pourquoi pas un seul journaliste, parce qu'il n'y a pas de place pur deux en même temps.
Mail il n'y a plus possibilité de contradiction, ce qui est une bonne chose aussi, ni de rattrapage en cas de baisse d'inspiration, ou de rebondissement.
Plutôt qu'un personnage face à deux ou trois journalistes (un côté sympa, causerie), pourquoi pas en alternance, un journaliste meneur de jeu, face à un personnage et ses collègues.
Encore une fois, c'est la relégation de Frédéric Ferney, qui avait aussi beaucoup à dire, qui m'a un peu dérangé, ou touché d'un léger malaise, enfin, léger, tant l'envahissante Judith Bernard nous a offert un magnifique moment de plaisir intellectuel.
jmw
jmw
Mail il n'y a plus possibilité de contradiction, ce qui est une bonne chose aussi, ni de rattrapage en cas de baisse d'inspiration, ou de rebondissement.
Plutôt qu'un personnage face à deux ou trois journalistes (un côté sympa, causerie), pourquoi pas en alternance, un journaliste meneur de jeu, face à un personnage et ses collègues.
Encore une fois, c'est la relégation de Frédéric Ferney, qui avait aussi beaucoup à dire, qui m'a un peu dérangé, ou touché d'un léger malaise, enfin, léger, tant l'envahissante Judith Bernard nous a offert un magnifique moment de plaisir intellectuel.
jmw
jmw
Je trouve NAULLEAU insupportable de suffisance dans ses critiques avec toujours l'air de prendre les autres pour des demeurés.
La façon dont chez RUQUIER il a éreinté F LALANNE que je n'ai par ailleurs pas lu fut tout à fait édifiante.
Il sait très bien que les invités de cette émission qui viennent avec un bouquin ne le sont que pour les sujets d'actualité et non la plupart du temps pour leur capacité littéraire.
Alors c'est une activité très facile de jouer les postures de grand littéraire et de surcroit d'être extrêmement méchant gratuitement.Il peut critiquer négativement les textes qui lui sont proposés sans étriller les personnes.Je ne suis pourtant pas partisan d'émissions gnangnan.
Il me fait apprécier Eric ZEMOUR avec qui je ne partage pourtant pas 99 % des idées exprimées.C'est un comble.
Lors de l'émission avec VINAVER il avait l'air de souverainement s'ennuyer et de surcroît n'a eu aucune intervention vraiment déterminante.
Je pense donc que arrêt sur image peut se passer de lui.
La façon dont chez RUQUIER il a éreinté F LALANNE que je n'ai par ailleurs pas lu fut tout à fait édifiante.
Il sait très bien que les invités de cette émission qui viennent avec un bouquin ne le sont que pour les sujets d'actualité et non la plupart du temps pour leur capacité littéraire.
Alors c'est une activité très facile de jouer les postures de grand littéraire et de surcroit d'être extrêmement méchant gratuitement.Il peut critiquer négativement les textes qui lui sont proposés sans étriller les personnes.Je ne suis pourtant pas partisan d'émissions gnangnan.
Il me fait apprécier Eric ZEMOUR avec qui je ne partage pourtant pas 99 % des idées exprimées.C'est un comble.
Lors de l'émission avec VINAVER il avait l'air de souverainement s'ennuyer et de surcroît n'a eu aucune intervention vraiment déterminante.
Je pense donc que arrêt sur image peut se passer de lui.
Oui que deux chroniqueurs c'est bien mieux !
http://next.liberation.fr/article/f-lalanne-mis-en-demeure-par-e-naulleau
http://next.liberation.fr/article/f-lalanne-mis-en-demeure-par-e-naulleau
L'alternance des deux chroniqueurs me parait un choix interessant. J'aime bien les deux d'ailleurs et les separer donnerait l'impression d'avoir droit a deux emissions differentes et tout aussi agreables. donc "+1" :)
Bonjour,
J'ai regardé les quatre premières émissions "Dans le texte". La qualité des émissions s'est nettement accrue depuis la première. L'imputer à l'absence de Nalleau serait sans doute réducteur. Je remarque qu'il n'a été présent qu'à deux reprises et que ces interventions lors des deux premières émissions n'ont pas particulièrement brillé. Il est peut-être plus à l'aise lorsqu'il se dirige au grand public et lorsqu'il s'agit de choquer et surprendre l'opinion. Le duo Fernet-Judith fonctionne bien mais sincèrement avec ou sans Nalleau, je continuerai de regarder cette émission .
J'ai regardé les quatre premières émissions "Dans le texte". La qualité des émissions s'est nettement accrue depuis la première. L'imputer à l'absence de Nalleau serait sans doute réducteur. Je remarque qu'il n'a été présent qu'à deux reprises et que ces interventions lors des deux premières émissions n'ont pas particulièrement brillé. Il est peut-être plus à l'aise lorsqu'il se dirige au grand public et lorsqu'il s'agit de choquer et surprendre l'opinion. Le duo Fernet-Judith fonctionne bien mais sincèrement avec ou sans Nalleau, je continuerai de regarder cette émission .
émission trés interressante.
les 2 chroniqueurs se complétaient trés bien.
juste 1 chose, j'aurais souhaité que vous puissiez aussi titiller ce grand monsieur sur sa confusion entre "antisionisme" et "antisémitisme"
les 2 chroniqueurs se complétaient trés bien.
juste 1 chose, j'aurais souhaité que vous puissiez aussi titiller ce grand monsieur sur sa confusion entre "antisionisme" et "antisémitisme"
Je suis un abonné d'@si de la première heure, mais n'ai jamais pris la plume (ou plutôt le clavier) pour participer aux débats, car je n'en ai jamais eu l'envie. Mais là, je me lance : l'émission avec Lanzmann est vraiment enthousiasmante, encore plus que les trois précédentes déjà fort réussies. C'est une dramaturgie qui s'improvise sous nos yeux et pour nos oreilles. Elle tient bien sûr à la très grande qualité des trois interlocuteurs, mais peut-être aussi au format trouvé par hasard pour cette émission.
Je m'explique.
Le format "deux chroniqueurs face à l'invité", pourtant fortuit (absence non prévue de Naulleau oblige), me semble au final fonctionner encore mieux que le format initial. Ce coup du sort se transforme en coup de dés gagnant.
En voyant les trois précédentes émissions, j'avais eu le sentiment que le format "3 face à 1" faisait de cette émission une sorte de "club de la presse" littéraire (et je trouvais cela déjà très bien). Mais elle comportait des dangers, soit que les questionneurs cherchent à surenchérir et à se pousser mutuellement du col, soit que l'un demeure excessivement mutique par rapport aux autres.
A mon sens, le format "2 face à 1" transforme l'émission en un passage à la question : Lanzmann qualifie d'ailleurs à un moment l'exercice d'interrogatoire plutôt que d'entretien et cela me paraît très juste. L'intensité de l'entretien et sa précision permet de mettre comme une pression permanente sur l'auteur, qui doit s'expliquer, réagir comme s'il devait conduire de front deux véritables dialogues simultanés. C'est précisément cette pression qui fait surgir des moments imprévus de vérité. Et pour obtenir cette intensité, il suffit qu'un interrogateur passe le relai à l'autre inlassablement, leur permettant en quelque sorte de "souffler" tour à tour, sans que l'interviewé, lui, ne puisse souffler. Voilà comme je l'ai ressenti.
Le résultat est un grand moment de plaisir.
Fabrice Lenglart
Je m'explique.
Le format "deux chroniqueurs face à l'invité", pourtant fortuit (absence non prévue de Naulleau oblige), me semble au final fonctionner encore mieux que le format initial. Ce coup du sort se transforme en coup de dés gagnant.
En voyant les trois précédentes émissions, j'avais eu le sentiment que le format "3 face à 1" faisait de cette émission une sorte de "club de la presse" littéraire (et je trouvais cela déjà très bien). Mais elle comportait des dangers, soit que les questionneurs cherchent à surenchérir et à se pousser mutuellement du col, soit que l'un demeure excessivement mutique par rapport aux autres.
A mon sens, le format "2 face à 1" transforme l'émission en un passage à la question : Lanzmann qualifie d'ailleurs à un moment l'exercice d'interrogatoire plutôt que d'entretien et cela me paraît très juste. L'intensité de l'entretien et sa précision permet de mettre comme une pression permanente sur l'auteur, qui doit s'expliquer, réagir comme s'il devait conduire de front deux véritables dialogues simultanés. C'est précisément cette pression qui fait surgir des moments imprévus de vérité. Et pour obtenir cette intensité, il suffit qu'un interrogateur passe le relai à l'autre inlassablement, leur permettant en quelque sorte de "souffler" tour à tour, sans que l'interviewé, lui, ne puisse souffler. Voilà comme je l'ai ressenti.
Le résultat est un grand moment de plaisir.
Fabrice Lenglart
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Je n'ai pas encore vu l'émission mais je dois dire que la façon que vous avez d'évoquer l'absence d'un chroniqueur en nous précisant bien que c'est un retard non annoncé par le retardataire me paraît absolument détestable et pas franchement correcte.
Bravo et merci pour cette émission qui montre dans cet opus tout ce que les lecteurs-animateurs peuvent faire surgir d'un texte lu avec un intérêt passionné et passé aux cribles de leur sensibilité et de leurs présupposés... tout cela sans agressivité mais non sans pertinence ni sans impertinence.
J'ai eu le sentiment que Claude Lanzmann, un instant désarçonné, se remet en selle quand il adresse à Judith sa 2è remarque sur l'intelligence d'icelle, la première remarque, nettement flatteuse à mon avis, se situant dans la première partie de l'émission. Ce qui pourrait alimenter certaines remarques sur l'existence d'un sentiment général de supériorité chez l'auteur, sentiment qui m'a semblé en partie conscient , la supériorité étant par contre non assumée... du moins au cours de l'émission.
Je salive d'avance à l'annonce des futures émissions...
J'ai eu le sentiment que Claude Lanzmann, un instant désarçonné, se remet en selle quand il adresse à Judith sa 2è remarque sur l'intelligence d'icelle, la première remarque, nettement flatteuse à mon avis, se situant dans la première partie de l'émission. Ce qui pourrait alimenter certaines remarques sur l'existence d'un sentiment général de supériorité chez l'auteur, sentiment qui m'a semblé en partie conscient , la supériorité étant par contre non assumée... du moins au cours de l'émission.
Je salive d'avance à l'annonce des futures émissions...
Bonjour,
Je n'ai pas encore regardé l'émission mais d'ores et déjà l'abscence de Naulleau me déçoit: ses questions et remarques le plus souvent pertinentes sont une valeur ajoutée, selon moi, incontestable à l'émission.
Conservez ce trio dynamique!!
Pourriez-vous nous dire d'ailleurs si son absence est une sorte de désengagement de sa part ou bien simplement un empêchement?
Bon courage
F.
PS: une idée au passage:et si vous confiiez une chronique écrite à Regis Debray?
Je n'ai pas encore regardé l'émission mais d'ores et déjà l'abscence de Naulleau me déçoit: ses questions et remarques le plus souvent pertinentes sont une valeur ajoutée, selon moi, incontestable à l'émission.
Conservez ce trio dynamique!!
Pourriez-vous nous dire d'ailleurs si son absence est une sorte de désengagement de sa part ou bien simplement un empêchement?
Bon courage
F.
PS: une idée au passage:et si vous confiiez une chronique écrite à Regis Debray?
Vous vous interrogez sur la pertinence d'alterner les chroniqueurs. Le fait est que trois interviewers pour un invité réduit de manière mathématique le temps de parole de ce dernier, surtout lorsqu'il s'agit de se référer en profondeur au texte. Le format de l'émission étant libre, les interventions longues de Judith ne me dérangent pas. J'apprécie par ailleurs que le texte soit cité, même si ce travail d'interprétation du texte risque de faire tomber l'émission dans l'écueil (je dis l'écueil car ce n'est pas son but semble-t-il) d'une table ronde entre critiques littéraires. Reste à vous de jauger l'équilibre à trouver entre la complémentarité du ton des chroniqueurs et la place que vous souhaitez laisser à l'auteur.
La lecture d'un passage choisi du livre en début d'émission me paraîtrait par ailleurs pertinent en gage de présentation de l'auteur par son œuvre (même si ce dernier n'est pas son oeuvre cela aurait pour mérite d'ouvrir la confrontation entre ces deux là). L'oralité du texte me semble par ailleurs un point intéressant, surtout lorsque ce dernier à été dicté.
La lecture d'un passage choisi du livre en début d'émission me paraîtrait par ailleurs pertinent en gage de présentation de l'auteur par son œuvre (même si ce dernier n'est pas son oeuvre cela aurait pour mérite d'ouvrir la confrontation entre ces deux là). L'oralité du texte me semble par ailleurs un point intéressant, surtout lorsque ce dernier à été dicté.
Comme toujours je regarderai cette émission avec délectation, petit Message à Daniel , "ya JMM qui deblatere sur ASI " alors je sais que la bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe et que par cette annonce j'avoue de ce fait trainer sur son site (mea culpa mea maaaaxima culpa. Bien que ne partageant pas toutes vos vues, si vous et l'autre..... étiez dans un bateau je peux vous garantir que celui au prénom composé irait rejoindre les abysses dont il n'aurait jamais du sortir....
alors il etait où le ricou ? moi je l'aime bien le ricou !
alors il etait où le ricou ? moi je l'aime bien le ricou !
Merci pour cette formidable émission qui est le modèle de ce que devrait être toute émission littéraire : une vraie plongée dans le texte et l'oeuvre d'un auteur, un échange foisonnant, où chacun assume ses idées, son rapport à l'oeuvre étudiée, qui donne envie de lire le livre en question. Le choix des auteurs se révèle passionnant ( je ne connaissais pas Vinaver et Chloé Delaume ), soit pour l'ampleur de leur oeuvre soit pour la compréhension de nouveaux courants littéraires ( j'étais dans un a priori négatif concernant l'autofiction avant de voir l'émission sur Chloé Delaume ).
Il y a des émissions qui donnent la solution à la question : comment traiter de ce sujet à la télévision ( je pense à "palettes" d'Alain Jaubert pour la peinture, ou "le dessous des cartes" de J.C. Victor pour la géographie...). Je crois que, sans fausses bonnes idées plus ou moins tapageuses, "dans le texte" réussit à rendre la partie télégénique de la littérature : des êtres qui parlent avec intelligence de leurs vies à partir de leurs écrits et de leurs écrits à partir de leurs vies. Aucun dispositif nécessaire, si ce n'est l'intelligence des "producteurs" de l'émission et la qualité de l'écrivain invité. Le duo de fins connaisseurs Judith Bernard - Frédéric ferney, avec ses harmonies ( tenir un thème ensemble même s'il est difficile à assumer comme le narcissisme, émis comme hypothèse, de lanzmann ) et ses dissonnances ( le féminisme de Beauvoir et son rapport à Sartre ) crée une polyphonie de questionnements et de lectures qui parfois noie un peu l'invité mais est le plus souvent passionnant.
Je me suis souvent endormi devant des émissions littéraires, même diffusée le matin. Là j'ai écouté avec concentration cette émission du début à la fin en partageant le regret du plateau qu'elle ne fût pas plus longue. La prochaine avec Eric Hazan s'annonce également passionnante. On voit une ligne éditoriale quant au choix des invités qui peut être critiquée mais qui a le mérite d'exister et - enfin - de ne pas se conformer simplement àla promotion éditoriale.
Il y a des émissions qui donnent la solution à la question : comment traiter de ce sujet à la télévision ( je pense à "palettes" d'Alain Jaubert pour la peinture, ou "le dessous des cartes" de J.C. Victor pour la géographie...). Je crois que, sans fausses bonnes idées plus ou moins tapageuses, "dans le texte" réussit à rendre la partie télégénique de la littérature : des êtres qui parlent avec intelligence de leurs vies à partir de leurs écrits et de leurs écrits à partir de leurs vies. Aucun dispositif nécessaire, si ce n'est l'intelligence des "producteurs" de l'émission et la qualité de l'écrivain invité. Le duo de fins connaisseurs Judith Bernard - Frédéric ferney, avec ses harmonies ( tenir un thème ensemble même s'il est difficile à assumer comme le narcissisme, émis comme hypothèse, de lanzmann ) et ses dissonnances ( le féminisme de Beauvoir et son rapport à Sartre ) crée une polyphonie de questionnements et de lectures qui parfois noie un peu l'invité mais est le plus souvent passionnant.
Je me suis souvent endormi devant des émissions littéraires, même diffusée le matin. Là j'ai écouté avec concentration cette émission du début à la fin en partageant le regret du plateau qu'elle ne fût pas plus longue. La prochaine avec Eric Hazan s'annonce également passionnante. On voit une ligne éditoriale quant au choix des invités qui peut être critiquée mais qui a le mérite d'exister et - enfin - de ne pas se conformer simplement àla promotion éditoriale.
Pour Naulleau, bah de toute façon, 3 itw-vers, ça me paraît trop, genre procès, donc, tout va bien.
NB: en ce qui concerne les prises de positions (sur la politique du gouvernement israëlien et autres choses citées par C.Payet ci haut) de Lanzmann, j'imagine bien que ce n'était pas le sujet de cette émission précise.
Ca en mériterait peut-être une autre.
NB: en ce qui concerne les prises de positions (sur la politique du gouvernement israëlien et autres choses citées par C.Payet ci haut) de Lanzmann, j'imagine bien que ce n'était pas le sujet de cette émission précise.
Ca en mériterait peut-être une autre.
Est-ce que vous êtes en train de sous-entendre que Nauleau ne lit pas les livres ?
Bon, il y avait eu Elisabeh Lévy, puis David Abiker et maintenant Eric Naulleau. Je vous prédis que dans 25 ans, quand on présentera tous ces illustres fantômes dans les médias, on dira qu'ils ont participé aux débuts d'un site culte :arrêt sur images... Et qu'ils ne démentiront pas mais se contenteront d'un petit sourire entendu : "eh oui, j'y étais, un peu..."
<< Avec son corps de sanglier, il a forcé des portes de ministres, de paysans polonais, de bourreaux nazis. Il n'avait jamais rencontré Judith Bernard. Il ne sait pas quoi lui répondre. >>
Bah, oui, ça doit faire un choc d'être là, face à elle. Tu m'étonnes...
Bah, oui, ça doit faire un choc d'être là, face à elle. Tu m'étonnes...
Lanzmann n'est pas une vache sacrée pour tout le monde. Son obsession monomaniaque à exonérer l'armée israélienne de ses crimes (il a même fait un film à sa gloire), sa défense inconditionnelle de l'État d'Israël, son soutien à la colonisation du peuple palestinien, sa confusion permanente entre l'antisionnisme et l'antisémitisme, aux côtés des habituels BHL, Adler, Bruckner, Goupil, Leconte (non, pas le tennisman), Rioufol, Val (qu'il a soutenu contre Siné en signant ce texte crapuleux), Finkielkraut, Taguieff, etc, ne me le rendent pas très sympathique, c'est le moins qu'on puisse dire...
Merci pour votre lien vers le texte de ce monsieur Uleski : c'est tout le bien que je pensais de monsieur Lanzmann sans oser le dire (croyant être seul ou au moins en trop mauvaise compagnie).
Merci pour le lien.
Garder le format à 3! Même si j'apprécie les questions souvent abstraites et métaphoriques de Ferney, les questions de Naulleau en général bien plus claires et incisives donnent de très bonnes réponses des écrivains. Il est celui qui, en général, fait le plus réagir l'invité et l'invite le plus à se dévoiler.
Garder le format à 3! Même si j'apprécie les questions souvent abstraites et métaphoriques de Ferney, les questions de Naulleau en général bien plus claires et incisives donnent de très bonnes réponses des écrivains. Il est celui qui, en général, fait le plus réagir l'invité et l'invite le plus à se dévoiler.
Même Shoah est insupportable à voir. Et pas que pour ses images.
Il n'y a aucune image insupportable à regarder dans Shoah... D'où vous vient donc cette réaction ?
Je suis pour le format à 3 interviewers, ça donne plus de rythme, ça permet à Judith de retrouver éventuellement une fiche et c'est un excellent ferment textuel. Ne changez rien.
Bonne émission une fois de plus.
DL a raison : le face à face entre un'auteur et de vrais lecteurs, c'est excellent ! ça permet de mieux cerner l'auteur et son texte, avec justesse.
Servir la soupe à un écrivain au nom de la promotion, c'est insupportable et ne donne que très peu envie de lire l'ouvrage présenté.
Bonne émission une fois de plus.
DL a raison : le face à face entre un'auteur et de vrais lecteurs, c'est excellent ! ça permet de mieux cerner l'auteur et son texte, avec justesse.
Servir la soupe à un écrivain au nom de la promotion, c'est insupportable et ne donne que très peu envie de lire l'ouvrage présenté.
J'ai regardé et écouté avec beaucoup de plaisir l'émission avec Regis Debray. J'ai acheté son livre, que je lis avec délectation.
Mais je ne regarderai pas celle-ci, car ce que dit Lanzman ne m'intéresse pas.
Je n'aime ni son soutien inconditionnel à Israel, ni l'amalgame antisionisme/ antisémitisme, ni l'instrumentalisation de la mémoire de Simone de Beauvoir, ni l'occupation de la direction des Temps Modernes.
Je me demande souvent ce que diraient ces deux monuments de notre histoire intellectuelle de l'utilisation que l'on fait aujourd'hui de leur nom ou de ce qu'ils ont créé.
Sartre et Beauvoir appartiennent à mon histoire, et j'enrage de voir que BHL ou Lanzman les annexent à leurs propres combats qui ne sont pas les miens.
Peut-être ne suis-je pas la seule ?
Mais je ne regarderai pas celle-ci, car ce que dit Lanzman ne m'intéresse pas.
Je n'aime ni son soutien inconditionnel à Israel, ni l'amalgame antisionisme/ antisémitisme, ni l'instrumentalisation de la mémoire de Simone de Beauvoir, ni l'occupation de la direction des Temps Modernes.
Je me demande souvent ce que diraient ces deux monuments de notre histoire intellectuelle de l'utilisation que l'on fait aujourd'hui de leur nom ou de ce qu'ils ont créé.
Sartre et Beauvoir appartiennent à mon histoire, et j'enrage de voir que BHL ou Lanzman les annexent à leurs propres combats qui ne sont pas les miens.
Peut-être ne suis-je pas la seule ?
Oui ça marche mieux pour moi. En 1 heure seulement, avec deux intervenants de qualité, qui ont ainsi plus de temps pour exprimer pleinement leur ressenti, on se rapproche effectivement plus de l'objectif de l'émission: le texte.
merci.
merci.
Message 1/5max du 21/04/09.
L'émission ne fonctionnerait-elle pas mieux s'ils venaient en alternance, si Judith se partageait entre les deux, comme...Beauvoir naguère, entre Sartre et Lanzmann, comme le raconte si drôlement, justement, le livre de Claude Lanzmann ? Vous nous le direz.
Euh... pas la peine de programmer cela, avec la vie qui impose ses contraintes, avec trois chroniqueurs à disposition, vous vous retrouverez de fait bien trop souvent dans la configuration d'aujourd'hui ou dans une autre très proche. Bref, ne vous mettez pas en péril inutilement, l'existence s'en chargera quelque fois, hélas.
A moins que cela ne soit pour des raisons purement économiques, mais vous nous le diriez si c'était le cas...
yG
ps: Bon, pour l'analogie, si elle est de circonstance au vu de l'émission du jour, elle est néanmoins malvenue. On ne réussit pas à tous les coups ses traits d'esprit, j'en sais quelque chose.
L'émission ne fonctionnerait-elle pas mieux s'ils venaient en alternance, si Judith se partageait entre les deux, comme...Beauvoir naguère, entre Sartre et Lanzmann, comme le raconte si drôlement, justement, le livre de Claude Lanzmann ? Vous nous le direz.
Euh... pas la peine de programmer cela, avec la vie qui impose ses contraintes, avec trois chroniqueurs à disposition, vous vous retrouverez de fait bien trop souvent dans la configuration d'aujourd'hui ou dans une autre très proche. Bref, ne vous mettez pas en péril inutilement, l'existence s'en chargera quelque fois, hélas.
A moins que cela ne soit pour des raisons purement économiques, mais vous nous le diriez si c'était le cas...
yG
ps: Bon, pour l'analogie, si elle est de circonstance au vu de l'émission du jour, elle est néanmoins malvenue. On ne réussit pas à tous les coups ses traits d'esprit, j'en sais quelque chose.
Naulleau est certes très "Ruquier" (du moins l'idée que je m'en fais sans l'avoir jamais regardé) mais Ferney a ce côté smart (snobinard) un peu lourd, seul avec Judith pendant une heure....
Sinon je l'admire (Ferney, car forcément c'est Flatteur pour la Dame) d'avoir si bien supporté la pulsion "machiste" (?) de Claude Lanzmann de vouloir séduire à tout prix sa pertinente interlocutrice! Chapeau Monsieur.
B.
Sinon je l'admire (Ferney, car forcément c'est Flatteur pour la Dame) d'avoir si bien supporté la pulsion "machiste" (?) de Claude Lanzmann de vouloir séduire à tout prix sa pertinente interlocutrice! Chapeau Monsieur.
B.
OUAIS
Judith Bernard partagée entre Eric Naulleau et Frédéric Ferney comme Simon de Beauvoir entre Jean-Paul Sartre et Claude Lanzmann. Quelle idée stupide!
Je ne vois pas l'émission en ligne.
Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont mises...
Et avec grande célérité, ajouterais-je.
Y'a d'l'eau dans l'gaz avec Naulleau ou quoi ?
Bon, on va regarder quand même, n'est-ce pas ?
Cette émission ne se résume pas à la présence du monsieur, et heureusement.
Mais si m'sieur Naulleau décide de se faire porter pâle, dites-le nous réellement.
Et avec grande célérité, ajouterais-je.
Y'a d'l'eau dans l'gaz avec Naulleau ou quoi ?
Bon, on va regarder quand même, n'est-ce pas ?
Cette émission ne se résume pas à la présence du monsieur, et heureusement.
Mais si m'sieur Naulleau décide de se faire porter pâle, dites-le nous réellement.