Agression sexuelle dans une école de journalisme : une promotion débaptisée
C'est une première dans l'histoire de cette école de journalisme parisienne : une promotion a été débaptisée, à la demande des étudiants eux-mêmes, qui ne souhaitaient plus être associés au nom de leur parrain, un journaliste qu'ils avaient choisi pour accompagner leur formation. La raison : une soirée arrosée au cours de laquelle une étudiante a été agressée sexuellement par un proche de ce journaliste.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Du bureau du- Producteur-,au place d'honneur de l'Opéra , via la terrasse d'un bistrot parisien un soir de beuverie,cette épidémie - d'agressions multiformes-va t elle aboutir a ce que les personnes de sexes opposées ne puissent plus se côtoyer,sans "arrière-pensées" embarrassantes ?
Certains pays musulmans ont depuis longtemps définis la place de la femme dans leur société.
Pensez y mes " sœurs agressées" !
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
bravo a la classe pour sa solidarité, et a l'école , enfin un mouvement . Maintenant reste plus qu'a expliquer aux mecs la différence entre drague et harcèlement, embrasser par surprise une femme est du harcèlement a chaque fois, demander plusieurs fois de sortir/coucher avec qq qui dit non , est du harcèlement ...
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
[url=http://https://reporterre.net/La-nouvelle-loi-Travail-enfonce-les-victimes-de-harcelement-sexuel]
La conséquence de cette tentative sur moi, ça a été de montrer un visage d'agressé, de frayeur et de "pas sympa" alors que je voulais montrer un visage détendu et de fêtard. C'était il y a deux ans.
De mon côté, quand je drague un homme, dans un contexte approprié, je recherche toujours son consentement mais j'avoue que parfois je me suis trompé et que ça peut être limite harcèlement (tout au plus).
En conclusion, mon témoignage est un peu faible évidemment (tentative) mais c'est un de plus. Je crois que ça mériterait une information à chaque fois qu'on est embauché quelque part car aucun homme ne sait ce qu'est une agression sexuelle, un harcèlement sexuel et encore moins quand il est environnemental.
...Tout à coup -après l'appel téléphonique d'@SI - il se rend compte qu'il a joué au con, et pour se faire pardonner il va aller reboire un coup avec les étudiant.es? et c'est tout?
......pendant ce temps là Macron en profite pour pondre une loi contre le "harcellement de rue" qui ne visera pas tout à fait la même population!....
Néanmoins on en vient à parler sur le même ton de ceux qui ont violé, ou ont tenté de le faire en menaçant de représailles professionnelle celle qui refusait, et le gros con très lourd un soir de beuverie.
Le jour où Twitter s'embrasera sur #balance-ton-assassin-d'enfant, j'espère qu'on fera le tri avec ceux qui ont mis une claque à leur môme (ce qui n'est pas bien , mais un gros cran en dessous du meurtre non ?)
Et si le prix à payer pour améliorer la situation ce sont quelques dérapages et quelques emballements ( contre lesquels certains s'alarment davantage que contre les violences bien plus anciennes et bien plus nombreuses) ... et bein tant pis.