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Commentaires

Après la mort d'Erik Izraelewicz, la presse loue l'ex-directeur du Monde

Littéralement caviardée ! Publiée mardi soir sur le site de Télérama (groupe Le Monde), la "nécro" d'Érik Izraelewicz, directeur du Monde décédé mardi 27 novembre, a été modifiée et adoucie après publication. C'était la seule fausse note, dans le concert de louanges médiatiques sur le disparu.

Derniers commentaires

Bon, il reste encore Dominique Seux, Jean marc Sylvestre, Guillaume Roquette, Yves Calvi, Olivier Mazerolle, Eric Brunet, Natacha Polony, Sophie De Menthon, FOG, Christophe Barbier, l'excellent Goddet ...pour nous défendre face à ces hordes de gauchistes qui viennent salir dans ce forum un homme qui su lors de chacune de ses interventions et dans la gestion de son journal affirmer une idéologie sans faille, pétrie de bon sens, n'en déplaise à tous ceux qui veulent continuer à dépenser l'argent public et assister les plus paresseurs des peuples européens et la plupart de nos concitoyens, il nous reste encore de nombreux guides spirituels pour nous conduire vers la lumière libérale et un capitalisme joyeux.
"Dommage qu’il soit mort trop tôt
notre guillotine n’aurait jamais si bien fonctionné
Heureusement qu’il nous reste des banquiers des généraux
des députés des évêques"
Allez, au passage, une petite citation du Grand ami de Mr Izraelevicz, le Sieur Kessler :

Adieu 1945, raccrochons notre pays au monde !

Par Denis Kessler, Challenges, 4 octobre 2007

Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s’y emploie.

Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d’importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme...

A y regarder de plus près, on constate qu’il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C’est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s’agit aujourd’hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ! (...)

J'espère qu'il avait pris conseil auprès du directeur du Monde....
Emmanuel Berretta, du Point, n'est pas très confraternel, qui rappelle qu'Izraelewicz était contesté par la rédaction du Monde.

Un commentaire (fielleux, bien sûr) suivant l'article de Berretta :
"Un homme de valeurs (financières) et de convictions est parti. Cet ami des grands patrons n'a sans doute pas supporté les déchirements de l'UMP, qui lui ont fendu le cœur. Le MEDEF perd un ami en même temps qu'un défenseur des valeurs libérales. Que ce fervent défenseur du capitalisme et du libéralisme exacerbé repose en paix. Ce soir, une grande soirée est organisée pour la sortie du DVD des Nouveaux chiens de garde. À cette occasion, sera remise la laisse d'or du chien de garde de l'année. Malheureusement, Erik Izraelewicz, qui aurait mérité cent fois ce trophée, ne pourra pas participer. Peut-être pourrait-on lui décerner cette récompense prestigieuse à titre posthume ?
http://www.acrimed.org/article3935.html
http://www.acrimed.org/article3914.html "
En même temps, c'est le jeu, on peut dire du mal des morts avant qu'ils le soient, ou après quand on rentre chez soi, mais entre deux, c'est mal vu...
Abonnée au Monde depuis 1969 j'ai apporté dès ce matin sous un article du Monde qui évoquait le concert de louanges après le décès de M.Israelewicz un commentaire critique sur l'éditorialiste sans nuance et empli de certitudes en matière économique, et si nous avons été peu nombreux parmi les lecteurs du Monde à apporter ce sentiment, ( beaucoup plus sur Médiapart ), il s'agissait à mon sens d'un éclairage indispensable que j'aurais aussi apprécié dans le corps de l'article d'ASI ; la disparition prématurée d'un homme est toujours un drame et je peux en témoigner, ayant également perdu un proche d'un malaise cardiaque, mais quand il s'agit d'un homme public, il importe que les articles nécrologiques soient immédiatement honnêtes
Félicitons Erik Izraelewicz d'avoir appliqué à lui-même, même contre sa volonté, les "réformes structurelles" (forcément nécessaires) qu'il n'a cessé toute sa carrière de promouvoir, notamment dernièrement à propos des Grecs. À force de préconiser le modèle allemand, il se l'est appliqué. Et force est de constater qu'il est salutaire: moins d'espérance de vie égale moins de retraites égale compétitivité pour notre économie.

Je suis cynique? oui, mais il ne l'était pas moins. Autant lui rendre hommage en appliquant ses méthodes.
Excellent.
Cracher sur un mort à peine froid, c'est moche.
Quelle que soit les désaccords que vous puissiez tous les deux avoir avec lui, il n'a mérité ni sa fin anticipée, ni qu'on tourne en dérision son éloge funèbre.

Cracher sur un mort à peine froid, c'est moche.

Quelle que soit les désaccords que vous puissiez tous les deux avoir avec lui, il n'a mérité ni sa fin anticipée, ni qu'on tourne en dérision son éloge funèbre.


Vous semblez être expert en bonnes manières, à combien de jours fixez-vous le délai de décence avant de faire le bilan politique ou professionnel (ce que vous appelez cracher) d'une personnalité publique ? Ou à partir de quelle température corporelle ?

à combien de jours fixez-vous le délai de décence avant de faire le bilan politique ?

Selon l'ump, "le délai de décence" avant de faire le bilan politique d'un président sortant est de plusieurs milliards d'années.



(mais peut-être que ce n'est pas exactement le sujet)
une petite semaine, selon l'encombrement des morgues.
Même le pire salaud à le droit à des funérailles paisibles. Même le jour prochain ou un vieux xénophobe fameux pour avoir présidé un parti extrémiste bien connu, débarrassera le plancher, je ne dirais rien (et pourtant je ne vous cache pas que le déteste cordialement). À l'état de cadavres, on est tous égaux ; et puis c'est vain ; et blessant pour des gens qui restent et qu'on ne connait même pas.

Cracher sur un mort à peine froid, c'est moche.

Quelle que soit les désaccords que vous puissiez tous les deux avoir avec lui, il n'a mérité ni sa fin anticipée, ni qu'on tourne en dérision son éloge funèbre.


Réponse en deux points:

1. J'applique la méthode vernon sullivan: j'irais cracher sur sa tombe. Comme il a craché sur les "pauvres" (je mets des guillemets, parce que pour ce genre de libéraux, pauvre, ça veut dire moins de 5000 euros par mois).
2. Si je devais mentionner par écrit sur le forum tous les souhaits de mort prochaine, si possible violente, aux éditocrates que me suggèrent leurs écrits quotidiens, je serais censuré à juste titre par la modération de ce forum (oui, c'est épidermique). Autant appliquer la résolution énoncée au premier point. Mais je n'en attends pas moins leur décès.


C'est cynique? oui, mais cf. mon premier message.
C'est pas cynique, c'est petit.
Et on ne peut cracher sur les tombes que de ceux qui sont déjà enterrés.
La haine est tellement visible. C'est difficile de faire de l'humour avec ce qu'on déteste, et c'est vraiment pas drôle.
Quand on en arrive à souhaiter la mort des gens, si possible violente pour leurs simples opinions, fussent-elle ignobles (et ici on parle d'un centriste qui faisait des éditos mi-chèvre mi-choux que personne ne lisait, alors bon), c'est qu'on est tombé déjà plus bas que ceux qu'on dénonce.
à bon entendeur.
C'est petit? Oui, mais il faut bien se mettre à leur niveau. Je parlerai grand quand il le seront, ce qui n'est pas près d'arriver, vu que leur lèche-bottisme est la condition sine-qua-non de leur ascension. Ils n'ont que mon mépris.

Ces mêmes éditocrates souhaitent la mort des gens, au nom de la compétitivité et autres fadaises néo-libérales, et il faudrait que je pleure la leur, au nom de valeurs humanistes qu'ils n'ont jamais défendues? Non: il revendiquent une pseudo-réciprocité (le fameux donnant-donnant du contrat, transformé dernièrement en un encore plus mensonger gagnant-gagnant), aussi je la leur accorde. À eux seulement, puisqu'eux seuls la réclament. Ils réclament le respect alors que je n'ai que mépris, leur mort permet l'accord win-win: ils méprisent les morts je méprise leurs morts. Mon mépris pour leur cadavre vaut le leur pour les pauvres, pas encore suicidés. C'est un accord win win.

Ils préfèrent que les pauvres se suicident plutôt que les rentiers soient euthanasiés (comme le défendait Keynes). Souffrez que je me réjouisse qu'ils éprouvent dans leur chair ce qu'ils ne cessent de préconiser pour les autres. Et de souhaiter que le directeur du Monde ne soit pas un cas isolé.
Voté aussi.
Le style hurluberlu me plait bien.
A la violence de ces prélats qui est tournée vers le peuple, il est permis voire nécessaire de répondre proportionnellement sans état d'âme ni mauvaise conscience.
J'estime également qu'à chaque disparition d'un Marseille ou d'un Izraelewicz, il n'est pas déplacé de faire part de notre sentiment de mépris profond envers des gens qui ont largement fait la preuve de leur totale absence d'empathie (à part pour leur milieu) et leur incommensurable cynisme.

Même et y compris si Izraelewicz n'est sans doute pas le pire représentant de cette clique qui se contrefout des effets de son idéologie mortifère sur la plus grande partie de leurs contemporains.
Fondamentament, vous êtes proche de ceux que vous haïssez (ce qui concerne assez peu la personne dont il était question ici, on va passer sur les outrances ridicules qui l'assimilent à un serial killer, ou un planificateur de génocide, pour quelques éditoriaux contestables).
Ce qui vous dérange c'est d'être du mauvais côté du canon, pas l'agressivité, la violence ou l'absence de liberté, puisque vous déclarez pouvoir user de l'un ou l'autre sans état d'âme pour imposer vos vues si vous en aviez l'occasion. C'est souvent le cas, on déteste ce qui nous ressemble trop.
Oui, je retourne le canon que ces gens emploient quotidiennement par la violence symbolique de leurs éditoriaux. Tendre l'autre joue en parfait masochiste (oh oui érik, fais moi mal), et l'hypocrisie hagiographique des nécrologues, très peu pour moi. La lutte des classes, en revanche...

Mais vous n'avez visiblement pas bien lu les textes d'Izraelewicz: ce ne sont pas quelques éditoriaux contestables qui posent problème, c'est toute une orientation idéologique puante sur laquelle il a bâti sa carrière de lèche-bottes des puissants et organisé ses rédactions (combien de pigistes, de précaires et de licenciements au Monde?).
En somme, lorsque vous crachez sur un défunt et souhaitez l'anathème à ses opinions et leurs adhérents, vous menez un combat idéologique respectable. Moi je l'aimais bien ce type, même si j'étais souvent pas d'accord.
"vous menez un combat idéologique respectable"

Non, ce n'est pas respectable, je le reconnais volontiers. Comme les textes pondus par les éditocrates: je ne fais que retourner leurs armes langagières, leurs discours marqué d'irrespects insultants pour les faible (un bon libéral est faible avec les forts,fort avec les faibles) contre eux. Relisez mon premier post: je ne fais que reprendre les mantras puants qu'Izraelewicz n'a cessé de répéter d'éditorial en éditorial. C'est ma façon de lui rendre hommage: évoquer sa mort en appliquant à sa nécrologie sa méthode de pensée.

Si cracher sur un cadavre vous semble puant (et ça l'est), alors, selon la même logique les éditoriaux du Monde sont du même niveau. C'est à ce niveau que je m'abaisse.
Franchement, tous ces mecs la : les politiques, les grands capitalistes, les médiateux, les dirigeants syndicaliste, les assos « made in PS », les « experts » patentés du système, etc ; bref les libéraux qu’ils soient libertaires ou sécuritaires, sont de grosses raclures.

Certes ils ne tuent ou ne blessent pas directement mais combien de ravages produits la doctrine qu’ils imposent ?

Combien de suicides, de dépressions, d’alcoolisme, d’enfants qui voient leurs parents divorcer suite à la mise au chômage du père ?
Combien de ravages du à la subversion des mœurs perpétuelles propagée par le spectacle ?
Combien de temps et d’efforts contradictoires nous coutent cette bande d’enc… ?
Ou même, plus prosaïquement, combien nous piquent-ils d’argent tous les mois.
Bref, quel pourcentage bonheur nous volent ils au cours d’une vie (qui je le rappelle est unique et limitée dans le temps) ?

Ces gens sont d’une violence inimaginable et absolument lâche, anti-chevaleresques ! Ils vous tirent de loin : ils snipent !
Et vous vous ne trouvez rien de mieux que de vous poser en arbitre des élégances !?

Alors écoutez-moi bien car les quelques verres que j’ai bu tout à l’heure à table en refaisant le monde avec mes amis lèvent mes inhibitions.
Je vais vous faire mon coming-out « fasciste » (oui, je parle le « bobo » couramment).

Si demain, pour une raison ou pour une autre, je me retrouvais président, empereur, ou dictateur (rayez la mention inutile) de ce pays voilà ce que je ferai (et qui m’aime me suive):
-J’enverrai la police (et pas la « police de proximité », croyez-moi) me chercher le plus symbolique de ces enc….
-Je ferais convoquer toute la fange journalistique.
-Devant les caméras éberluées je lirai l’acte d’accusation de cette raclure et de ce congénères avec la dite raclure à genoux au premier plan, pieds et mains ligotées, bouche bâillonnée.
-Je me saisirai d’une arme (si possible un gros calibre, le genre de truc qui produits des éclaboussures si sanguinolentes qu’elles semblent tout droit sorties d’un film américain).
-Collerai le canon sur la tempe de ce batard et lui enverrai un putain de gros pruneaux. Comme ça, face camera, sans me cacher, en assumant.
-Puis je regarderai la camera et expliquerai à ces crevures que la fête est finie, que leur avidité, leur recherche du profit quoi qu’il en coute humainement et socialement, leurs magouilles…
Bref, que leur « système » se termine la, qu’il ne faut plus déconner avec nous, qu’il n’y aura pas de procès !
-J’ajouterai, a l’attention de ceux qui voudraient fuir que je tiens les services secret.
-A ceux qui voudraient se barrer en avion avec les lingots (Ben Ali style) que c’est moi qui ai les boutons de la DCA.
-A ceux qui… etc.

Croyez-moi que les problèmes rentreraient vite dans l’ordre, que la liberté, la prospérité et du coup le bonheur reviendraient vite sans cette bande de sangsues.

Alors oui, j’ai bien conscience qu’on ne reverse pas un système avec sa bite et son flingue, que la situation que je viens de vous décrire est irréalisable seul.
J’ai conscience aussi que le texte que j’écris est un coup d’humeur un peu puéril mais que voulez-vous ? J’ai l’alcool mauvais…

Si j’écris ça c’est pour vous faire comprendre que vos histoires de bienséance m’en touchent une sans faire bouger l’autre.
Pour vous faire comprendre aussi que nos maitres ne s’embarrassent pas, eux, de telles précautions morales.
Que dans cette histoire il y a eu et nous, et que nous ne résoudrons rien sans une certaines doses de violence envers nos « élites ».
Pas forcément à coup de flingues (ils en ont plus que nous…) mais en s’émancipant d’un légalisme castrateur (qui fait les lois ?).

Il faut cesser de croire que le système dysfonctionne à cause de l’incompréhension de nos problèmes pas nos « élites » ou même à cause de leur incompétence.
Le système marche très bien, c’est un système d’oppression qui est dirigé contre nous.
Il n’y a pas négocier, à réformer, juste à l’éradiquer et ceux d’une façon assez spectaculaire pour que ceux qui auraient envie de prendre la relève comprenne bien que le concept de justice vient de reprendre le dessus sur l’institution qui usurpe ce même nom.

Conclusion : L’émancipation n’est pas un diner de gala…

Bon allez, je vais cuver… ça ira mieux demain (ou pas…).
HA,HA,HA...
Respectons les morts, même si vivants ils n'étaient pas respectables?

Pour ma part, je dirais comme Chirac :" ceala m'en touche une (que je n'ai pas) sans....
oui, Le Monde est devenu un torchon , et ceux qui le font n'ont que ce qu'ils méritent comme nécrologie, je vous rappelle le commentaire sur la création du ministère de l'immigration et l'identité nationale : no comment.
Un torchon, chié par des soutiers de l'information libérale. Il est vrai que le travail ne court pas les rues, alors bon nombre de journalistes courbent l'échine.
Voté !

Sur cette idée de faire des économies de retraites, j'ai à l'établi un livre d'anticipation dont je vous donne un passage :

On envisage de développer la télésurveillance par puçage sous-cutané. Déjà appliqué aux délinquants et pré-délinquants, le Ministère de la Sécurité Totale veut le généraliser : il serait pratiqué d’office à tous dès la maternité.

(Il a fallu modérer l’ardeur puçeuse de certains. Hier, le ministère a licencié un employé du service de son père. Discrètement : les autres collaborateurs ont été sommés de ne pas dévoiler l’affaire. Cet individu avait travaillé seul, ce qui est déjà une faute, sur un projet qu’on peut quand même qualifier d’excessif. Il était parti de l’observation que l’allongement de la vie, une des causes du recul de l’âge des départs en retraite, était dû non à une meilleure santé mais à des méthodes de prolongation qui, les années de troisième âge passant, rappelaient de plus en plus les soins palliatifs : cures médicamenteuses, ablations, greffes et prothèses en tous genres. Prolongation qui finit par avoir, c’est vrai, un coût exorbitant pour la collectivité des actifs.

Il avait donc imaginé d’améliorer le puçage susdécrit en insérant dans la puce un programme qui décide en secret de la mort du sujet à une date placée quelques années seulement après sa cessation d’activité rémunérée. Le ministre, informé de ces recherches, vit bien l’intérêt pratique d’une telle invention, mais pensa que sa réalisation pourrait rencontrer des résistances si elle s’ébruitait : or, comment réussir à taire une chose pareille ?)
Israelevicz a intérêt à faire un mort comme il faut.

Sinon Dreyfus and co sont capables de lui mettre la pression.

Quant au Monde, entre éloge du TINA et incompétence des webmestres, bof.

On peut comprendre que Télérama n'ait pas embouché les mêmes trompettes mielleuses que la bande des Quatre Fauderches (Bergé, Pigasse, Niel, Dreyfus) si on se souvient que son absorption par Le Monde de Colomabni a consisté en fait à un pillage financier.

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